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Décembre


 



Dimanche 18 décembre 2011 : 
   Barbizon  (77) 35 kms 

Temps pourri toute la semaine avec mini tempête le vendredi. Il n'y a même pas à réfléchir, direction Fontainebleau. Record battu, "El Diablo" passe me prendre avec 1/2 heure de retard. Il a prévu une petite boucle de 35 kms pour rentrer de bonne heure. De plus il est en petite forme. Un méchant virus s'est jeté sur lui.
Il ne fait pas chaud ce dimanche et les voitures sont gelées, tout comme la route. A la sortie de la N7 direction Barbizon, la voiture file tout droit sur quelques mètres. Ouh là !
Nous sommes les seuls sur le parking.
Nous partons par la Route de Barbizon. Nous n'effrayons même pas un faisan qui se promène tranquillement. JP sort l'appareil, enlève ses gants mais trop tard. (Un coup de 12 et le réveillon était déjà prêt).
Nous passons par le désert  d'Apremont, JP crache ses poumons en attendant que le machine monte en température. Nous prenons quelques mètres de route pour atteindre le carrefour de la Croix du Grand Veneur. Une vrai patinoire. D'ailleurs une voiture a fait un tout droit. Les autres roulent au pas en Warning. Nous traversons prudemment pour prendre la route de la Jalousie vers le Rocher Cuvier Chatillon en direction du single des Longues Vallées.
Le temps est magnifique et calme. Le gros coup de vent a laissé des traces. Nous sommes obligé de mettre pied à terre plusieurs fois. Super Jean-Pierre dégage les troncs en travers. (les petits !) Nous redoublons de prudence dans ce single en dévers. Nous passons la descente "ADP" pour remonter vers la Table du Grand Maitre, partie la plus casse g... Petite pause ravitaillement. J'en profite pour régler mon derrailleur arrière. Nous repartons par le single préféré de Jean-Pierre pour plusieurs kilomètres. Nous ne sommes pas seuls. Vététistes et marcheurs sont également de sortie.
A mi parcours, nous longeons la voie ferrée pour prendre le chemin du retour par le Rocher Cassepot puis l'Hippodrome de la Salle. Le souterrain du Carrefour l'Epine est encore verglacé. Sans l'avertissement de promeneur, nous ne serions pas restés sur le vélo.
De retour après 35kms, une petite sortie bien agréable, sur deux des plus beaux singles de la forêt.


 

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Dimanche 11 décembre 2011 : 
   Saulx  (91) 28 kms 

Météo  Hier je reçois un mail de Jean-Pierre, il ne roule pas le lendemain car la soirée risque d'être arrosée mais il fera un tour à Saulx vers les 8h30. Nous sommes également de sortie et j'aviserai le matin.
Il est 9h30 et je suis encore à la maison. Il faut dire qu'il a gelé et que je manque un peu de courage lorsque, devant ma tasse de café, je reçois un SMS de Jean-Pierre vers 10h. Il n'est pas avance mais il veut tenter Saulx malgré la pluie de ces derniers jours. Je suis partant. Je me prépare vite fait et il passe me prendre vers 10h30.
Le terrain est tout à fait praticable et je suis Jean-Pierre dans sa forêt de prédilection. A notre arrivée, 3 chevreuils passent à quelques mètres devant nous. Magnifique ! Nous prenons quelques singles dont Jean-Pierre a le secret puis le chemin du retour. Arrivée devant chez lui, juste avant de descendre de son vélo,un petit bruit retentit à la roue avant. "un ressort de plaquette ? " non. Après examen, un rayon vient de lâcher. Zut !
Petite sortie de 25kms par un temps vraiment de saison. On n'avais plus l'habitude !

 

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Samedi 10 décembre 2011 : 
   Avron (77)  

Mission du jour : Retrouver, en forêt de Fontainebleau, l’endroit ou nous avons escaladé, le vélo sur l’épaule, droit dans la pente et chevauché un tronc le WE précédent.

Je tente le tout pour le tout ce matin et retourne dans le rocher d’Avron avec mon fils équipé d’une carte et du GPS avec nos traces. Nous nous garons près de la route départementale. Nous prenons le chemin de  Cheyssac avant de bifurquer vers la gauche dans le rocher d'Avron.  Nous retrouvons assez facilement le chemin. Il est différent lorsque nous sommes en vélo, à pied on voit plus de choses. Nous tournons 2 mn avant de trouver l’endroit stratégique mais pas de doute nous y sommes. Nous montons en regardant par terre avant d’arriver au tronc ou Jean-Pierre a pris des photos. Je scrute le sol tout autour du tronc et je retrouve, juste avant d’enjamber le fameux tronc, mes lunettes, posées sur un amas de feuilles mortes, au dessus d’un rocher qui m’avait empêché de prendre appui pour passer le tronc. Royal !

Il est plus tôt que prévu et nous faisons une petite promenade en suivant le chemin bleu avant de rejoindre la voiture.

La chance sourit quelques fois.

 

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Dimanche 04 décembre 2011 : 
   Barbizon  (77) 45 kms 

Météo pluvieuse prévue pour ce WE. Malgré tout Jean-Pierre a prévu une sortie à Barbizon sur une trace d'un savant mélange JP/Pédalator. Une boucle nous fera découvrir le sud de Fontainebleau.
Vu le temps du samedi, je ne suis pas partant. Je prends l'option de me lever quand même le dimanche matin et de prévenir Jean-Pierre par SMS sur mes intentions. Eric et Franck seront présents.
La température est douce lorsque je me lève et il ne pleut pas (ou plus). Je SMS à Jean-Pierre et me tient prêt pour 7h30.
Nous sommes donc 4 sur le parking. Chacun a un GPS. Franck ne retrouve pas la trace dans le sien.
Nous partons par le chemin traditionnel dans les platrières d'Apremont puis Franchard, Maison forestière de Fleury jusqu'au Carrefour de la Tour Denecourt. Le single jusqu'à la tour est un de mes préférés, la connaissance du terrain est un plus pour les trajectoires. Nous avons souvent pris ce parcours mais en sens inverse.
Nous attaquons la partie "découverte" du jour pour se diriger vers le Rocher d'Avron à travers de grandes allées. Malgré nos GPS, nous prenons trop à droite et ne sommes pas sur le bon chemin. Il y a 2 balisages différents. Nous décidons de couper court et escaladons, le vélo sur l'épaule, à travers les branchages et arbres morts. Nous retrouvons la trace. Certains passages nous obligent à passer à pieds. Malgré le terrain, je perds de vue mes co-équipiers. Je fais une halte mais personne. Je continue et les attends sur la route de Cheyssac.
Au bout de quelques minutes, je m'aperçois que......j'ai perdu mes lunettes. Comment ont elles pu tomber sans m'en rendre compte ? Quand sont elles tombées ? Mystère et misère !! J'en informe Eric, Franck et jean-Pierre qui viennent d'arriver. Il est quasi impossible de refaire le chemin à l'envers. Nous continuons. Nous rejoignons l'Acqueduc de la Vanne. Franck nous laisse (ça devient une habitude) vu l'heure tardive. Il est attendu pour une raclette (c'est l'excuse officielle). Nous passons dans le Rocher de la Salamandre regagner Franchard. Jean-Pierre marque le coup ("de pompe"). Nous l'attendons après un raidillon mais personne. Je fais marche à arrière mais ne le voit pas. Pas de réponse à nos appels. Après 5 bonnes minutes, je repars avec Eric, peut être a t il coupé ?
Le tracé du retour passe par les Georges et Platrières d'Apremont, mais.......à pieds. Cette portion est impraticable mais heureusement pas très longue.
Pour finir, nous passons par la Maison Forestière de Barbizon pour retourner au parking. Nous nous attendions à retrouver JP mais personne, petit moment d'inquiètude. Je SMS. Quelques minutes plus tard, il arrive ouf ! Je reçois un SMS de Franck il est quasi sous la douche. Une belle sortie bien technique entachée par la perte de mes lunettes.
Dans la voiture sur le chemin du retour, nous essayons de remémorer ou mes lunettes ont pu tomber. Pas facile. Ce ne peut être qu'au moment de notre escalade dans le rocher d'Avron. Je demande à Jean Pierre de m'envoyer les photos qu'il a prise à ce moment.

Plus tard dans la soirée, la comparaison de nos traces avec celle d'origine me permet de localiser l'endroit précis. Les photos quant à elles n'ont rien pu affirmer. Je décide de tenter l'aventure le WE prochain. Qui ne tente rien n'a rien !

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Novembre




Dimanche 27 novembre 2011 : 
  geoportail.jpg  La polaireà Dourdan (91) 45 kms

Il y a quelques années, la Polaire de Dourdan représentait la dernière rando de l'année. Il n'était pas rare de voir des concurrents avec des bonnets du Père Noël. Elle portait bien son nom. La température était souvent glacial.
Aujourd'hui, elle est plus tôt dans le calendrier. Caprice de la météo ou réchauffement climatique, il y a un an, nous roulions dans la neige, ce matin le thermomètre affiche 9°.
Rendez-vous sur place pour 8h15. Ludovic et Michel G (M. Couette) ont répondu à l'appel. On reprend également quasi les mêmes que la semaine dernière, Eric, Franck, Patrick en rajoutant Marco ainsi que quelques têtes inconnus. Voila l'équipe du jour !. Lors de l'inscription Franck demande si le n° diabolique est "libre". Malheureusement, non.
Il est 8h35 quand nous partons, les 4 "Saint Michel", pendant que le team ADP et VCBS se regroupent. Comme à son habitude Jean-Pierre démarre fort et je suis largué. Un problème de balisage au rond point du moulin à vent me permet de le rejoindre. Je fais l'effort de rester dans sa roue pendant une dizaine de kilomètres. Lors du dépassement d'un groupe, je prends le relai et accélère un peu le rythme contrairement à JP qui reste sur le sien. Le parcours est roulant et j'arrive rapidement au 1er ravitaillement, à mi parcours, près de Saint Mesme. Tout le monde arrive à son tour. Nous ne nous attardons pas et repartons tous ensemble par une portion de route, en discutant. ADP/VCBS reprennent leur rythme de croisière. Je m'invite dans dans leur groupe. Nous sommes 6 à filer à bonne allure sur les chemins. Bonne nouvelle pour rompre la monotonie du parcours, Franck m'avertit que nous nous dirigeons vers le fameux single de l'autoroute. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas pris. Un vrai plaisir avant de reprendre les grandes allées. Je finis en suivant Eric et son compatriote. Marco et Franck attendent un des leurs sur la fin du parcours. Nous récupérons, quasi à la volée, dans un sachet, notre sandwich/boisson. Il est 11h10 et déjà retour. Ludovic, puis Jean-Pierre, puis Michel arrivent à leur tour. Plus de 19 de moyenne pour 45kms. je ne me rappelle pas être rentré si tôt du rando.
Un parcours sans grand intérêt avec très peu de singles. Heureusement les fous furieux étaient là et ont permis de donner un peu d'attraction.
 

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Dimanche 20 novembre 2011 : 
  geoportail.jpg  L'Escapade du petit Prince à Poissy (78) 56 kms

Enfin c'est aujourd'hui, la rando tant attendue par Jean-Pierre, L'Escapade du Petit prince, histoire d'affronter ces collègues sur leur terrain. Contrairement à l'année dernière, la météo est au rendez vous. Il n'a pas plu ces derniers temps. Pour ma part, ma seule participation était en 2008. J'ai le souvenir d'un terrain très gras.
Nous avons rendez vous à 8h avec les collègues de Jean-Pierre (Pierre, Henri et Thierry). Il a également convaincu Franck et Eric du VCBS.
Nous venons d'arriver lorsque, coup de fil de Franck, il ne sera là que dans 10 mn. Nous sortons les vélos et allons nous inscrire. M. et Mme Peladator sont aux commandes et nous remettent nos plaques de cadre contre 6€. Ce sera le n° 666 pour JP !
Nous ne retrouvons que Pierre et Henri et ce dernier préfère ne pas rouler avec nous. Nous voyons arrivé Franck mais également Yann, Patrick et Eric du VCBS. Sacré renfort !
Il est 8h30 quand nous enfourchons nos vélos. Le départ est roulant le temps d'atteindre la forêt de Marly. Il y a beaucoup de monde.
Nous sommes déjà arrêté derrière le lycée agricole. Il y a énormément de brouillard ce matin. Après plusieurs kilomètres, il m'est difficile de voir à travers mes lunettes. Le tracé est sympa et enchaine des difficultés, souvent de courte distance mais raides.
Malheureusement, nous sommes l'un derrière l'autre, impossible souvent de doubler et je suis obligé de finir 2 ou 3 côtes à pieds. Dommage, le terrain me convient bien. Je suis le groupe du jour. Au détour d'un chemin, j'aperçois Franck sur le côté, difficile de s'arrêter. Je continue avec Yann et Eric, puis ils s'arrêtent contrairement à moi. Ils me rejoindront plus tard, je n'ai pas d'inquiètude. Jean-Pierre est quelques mètres derrière. Enième côte.....à pied. Je stoppe en haut pour essuyer mes lunettes. Le soleil brille maintenant. JP en profite pour passer...sans me voir. J'arrive au premier ravitaillement ou il est surpris que je sois derrière. Ravitaillement gigantesque, il y a même de la soupe. Bravo à l'organisation.
Pierre est déjà là, pourtant il ne me semblait pas l'avoir vu passé. (Il est sur son terrain). Arrive ADP et Eric. Franck est crevé à l'arrière et attend que le Latex fasse son effet. Il demande une pompe à l'organisation. Patrick n'est pas en forme et attend la bifurcation vers le 40.
Je repars du ravitaillement en dernier. Mauvais choix quand on sait que Franck et Eric sont devant ! mais après 2 kilomètres, je les retrouve, chambre à air à la main. Jean-Pierre et moi stoppons.
JP immortalise le moment et prends un peu d'avance.
Nous le rejoignons peu de temps après. J'arrive à rester dans la roue de Franck et Yann tandis qu'Eric a pris en peu le large. Je me surprends même à relancer sur le plat cool. Je vois le bénéfice de mes dernières sorties. Je continue mais retrouve Eric, stoppé par une crevaison. Il n'a pas de pompe. Je sors la mienne et l'équipe se regroupe. Jean-Pierre arrive et repars prendre de l'avance. Les circonstances futures font que je ne le reverrais qu'à l'arrivée. Nous repartons...et  nous arrêtons après 50 mètres. Il faut mettre une chambre. Je SMS à PJ. Décidemment le Latex ! Franck et Yann nous rejoignent après avoir fait demi tour. Le temps tourne il est déjà 11h et nous n'avons fait que 20 kms.
Nous sommes à la bifurcation 56/40. Franck et Yann préfèrent prendre le chemin du retour, ce qu'à du faire Patrick. Nous les saluons. Je prends le 56 en compagnie d'Eric, en espérant que JP est fait de même. Je pense le rejoindre au 2ème ravito.
Il y a un peu moins de concurrents mais beaucoup de joggeurs, randonneurs. vététistes. Cette forêt est très pratiquée. Je trouve d'ailleurs limite dangereux de rouler dans ses conditions. Il faut vraiment rester vigilant.
Nous roulons à bonne allure. Précision non nécessaire. Je suis avec Eric ! smile
Sur la fin de la boucle, le long du golf de Jouyenval, 2 kms avant le ravitaillement, Pshitt ! Nouvelle crevaison. Eric n'a plus de chambre et je roule en valve Schrader. En colère, il marche à côté de son Merida quand je lui dis que j'ai de quoi réparer, si la colle est bonne ! Nouvel arrêt, je vérife, elle bonne. Eric démonte la chambre, puis un pompe pendant que l'autre cherche le trou. Un vrai bonheur avec le latex. Ca ne gonfle quasi pas. En fait il a pincé. Nous repérons une entaille d'un petit centimètre. Nous réparons et regonflons. Mais rien ! A l'évidence il y a un deuxième trou. Nous trouvons effectivement une entaille à l'opposé de la première (un pincement quoi). Nous regonflons à quasi 2,5 bars. Je SMS de nouveau à JP avant de repartir mais il a déjà quitté le ravitaillement et nous attend à l'arrivée.
Nous passons le ravito 2 sans nous arrêter. (Désolé, pas de commentaire sur celui-là, mais surement très bien) Heureusement, les 10 derniers kilomètres sont roulants. Nous filons dans les grands chemins. Histoire de participer, je prends un ou deux relais. On loupe d'ailleurs une bifurcation dans la Forêt Départemental des Tailles d'Herbelay et nous nous retrouvons à un endroit style "trous d'obus" par lequel nous étions passé précédemment. Gros carrefour de chemins, pas facile de si retrouver. Demi tour et GPS en mode carte afin de revenir sur nos pas. 500 mètres plus tard, nous retrouvons le bon en direction du bois Maillard.
Avant de sortir du bois et d'entrer dans Poissy, près du carrefour de Laye, j'entends une grosse chute derrière. Une racine a mis Eric à terre. Il se relève sans trop de "bobos. Ouf !
Nous finissons, sans encombres,les derniers hectomètres de route qui nous ramènenent au point de départ ou nous attend Jean-Pierre depuis plus de 3/4 d'heure. Nous échangeons rapidement nos mésaventures. Lui aussi à chuté sans gravité.  Il est 13h15. Il doit être de retour à 14h. Je file chercher mon casse croute que je mangerai dans la voiture.
Que dire de cette rando, un super parcours bien balisé que je n'ai pu apprécié à sa juste valeur. Les circonstance en ont voulu autrement aujourd'hui. Cela fait partie des aléas. Une chose est sure, départ de bonne heure impératif sous peine d'embouteillage !
Un gros succès aujourd'hui, plus de 1000 vététistes s'étaient donner rendez-vous. record battu. Y a pas à dire quand la météo est là !
Je garde la trace pour la refaire.......par temps sec. (Jean-Pierre, programme 2012...) Une satisfaction personnelle : être dans le rythme et avoir pu tenir (plus ou moins bien) la roue de Franck et d'Eric malgré les nombreux arrêts. tonguetongue

Le site de l'EPP de Mary ici
 

Escapade du Petit Prince 2011 (Poissy) 

 

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Dimanche 13 novembre 2011 : 
   Igny  (91) 50 kms

Samedi, je reçois un mail d'Olivier Pic afin de connaitre mes intentions du dimanche. J'ai prévu de rouler mais pas encore défini ou. On s'accorde par téléphone, ce sera le parcours d'Igny du 01 novembre mais dans sa totalité.
Ludovic propose Fontainebleau et Franck, Saint Arnoult. Il y a du choix ce WE. J'envoie un mail à la communauté faisant part de nos intentions. Michel répond présent. Nous serons donc 3 au départ le lendemain.
Nous sommes sur place à 8h. Olivier ne retrouve pas la trace dans son GPS. On croise les doigts. Départ vers la gare avant d'attaquer la côte de Jean-Pierre, exercice toujours difficile en début de circuit, puis la montée, à pied, vers la piste de vélo cross. Au moins en 10 mn on est chaud !
Nous attaquons les kilomètres de single de la forêt de Verrières jusqu'au petit Clamart. Le terrain est un peu humide mais tout à fait praticable. Ce coin est toujours aussi agréable, ça tourne dans tous les sens.
Olivier reste sage et n'emprunte pas les trottoirs.
Nous traversons la forêt de Meudon en passant par les 4 étangs et ses quelques "petites" côtes. Olivier a changé une partie de sa transmission mais visiblement il y a un problème de compatibilité 10v. Il y a des sauts par moment. Nous croisons le clan des "tape des mains" à la surprise de Michel qui me demande qu'elle est cette discipline. Nous avons déjà aperçu ces étranges personnes avec Jean-Pierre.
Nous arrivons à la tour Telecom. Nous sommes à mi parcours et nous faisons une pause bien méritée. Nous prenons le chemin du retour par Vélizy. Nous aperçons un magnifique chevreuil que nous pouvons suivre pendant quelques dizaines de mètres.
Avant de descendre sur Viroflay et pris un peu dans mon élan, je loupe une petite boucle après le carrefour des Bertisettes.
En bas, nous tournons à gauche et empruntons un chemin, assez large, que j'affectionne particulièrement, tout en larges virages avec un léger plat montant, jusqu'au carrefour des Terriers. Ma sortie de vendredi et mes quelques kilomètres de la veille m'ont fait du bien. Je peine moins que lors des sorties précédentes. Nous traversons la A86 par le nouveau souterrain pour nous diriger vers Les Metz. Nous traversons la route pour attaquer un belle côte caillouteuse.
Après quelques singles, dans la forêt de Monteclin, il y a de nouveau une côte technique pas facile. Les Ignitor passent juste contrairement à Olivier et Michel. Je patiente au niveau de la D53 en les attendant. Nous prenons le single en balcon. Le terrain est sec à cet endroit, en vrai plaisir. Nous rattrapons le GR11 pour redescendres sur Bièvre dans le Bois du Loup Pendu, chemin que nous avons l'habitude de prendre dans l'autre sens. Deux/trois kilomètres de route pour basculer de nouveau dans la forêt de Verrière. Je me fais plaisir en prenant de l'élan pour mieux passer les "montagnes" du parcours.
La fin du parcours n'est pas identique à d'habitude. Il passe dans un chemin sablonneux, étroit, le long du propriété et tout en montant. Je paie mes efforts précédents et finis à pied, contrairement à Michel qui jette ses dernières ressources dans le final.Olivier finit comme moi, je venais de lui dire qu'il n'y avait plus de difficultés ! Nous ferons les derniers kilomètres tranquillement.
Une super sortie qui passe par des coins sympas et sous un beau soleil.
 

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Dimanche 11 novembre 2011 : 
   Boucle Saulx Marcoussis  (91) 50 kms

Je voulais profiter de ce week-end de 3 jours pour rouler. Cela tombe bien, Jean-Pierre, n'étant pas dispo dimanche, me propose un tour dans sa forêt favorite. Ca va me permettre de vérifier quelques réglages après avoir fait quelques travaux d'entretien sur mon VTT.
Je me pointe vers les 8h30 chez lui. Il a son casque sur la tête mais ......le camel est resté dans le garage. Il fait humide et il y a du brouillard. Je traine encore mon rhume du 01 novembre. Il est tenace. Je suis donc habillé version hiver, au risque d'avoir trop chaud.
La forêt de Saulx est hyper humide. Les feuilles gouttent. C'est la première sortie dans cette forêt avec son nouveau cadre et il ne peut s'empêcher de vouloir l'essayer dans sa montée infernale. Les roues patinent et nous buttons à quelques mètres du sommet. Nous finissons à pieds. Nous stoppons au sommet, j'ai toujours ce craquement malgré avoir resséré les roulements du pédalier. Je donne un coup de clef à la vis qui maintient les roulements du bras inférieur. L'autre côté est inaccessible, il faut démonter le pédalier. Il y a un léger mieux. Je ferai plus chez moi.
Nous passons devant le poney Club, Bois de la Turaude puis le bois de Saint Eloi étrangement calme. Ce ne sont pas des chiens mais plusieurs chats qui nous regardent passer.
Après le traditionnel "Escargot" de Marcoussis, nous descendons vers le parc des Célestins. Ils font des travaux et une barrière bouche la sortie. Heureusement, elle est décrochée sur son côté gauche. Nous avons déjà été pris au piège. Nous remontons sur le plateau par les Maraisses. En haut le chemin (de droite), habituellement pleins de ronces est plein de ...boue. Nous faisons le tour par la gauche. Le brouillard est encore plus épais. J'ai du mal a retrouvé notre chemin habituel. Les travaux sont terminés et la végétation a repris ces droits. Nous prenons la route et la roue d'un peloton que nous laisserons au Poste électrique EDF. Retour par la forêt de Saulx. ou un tronc d'arbre nous barre la route dans la dernière descente.
Nous sommes de retour après 49kms, toujours avec du brouillard.
 

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Dimanche 06 novembre 2011 : 
  geoportail.jpg Les boucles de la juine à Lardy  (91) 60 kms

La rando du week end se situait à Lardy pour les Boucles de la Juine. Cela faisait plusieurs années que je ne l'avais pas faite. J'avais un souvenir d'une rando effectuée en été plutot qu'en automne.
Je paie la rincée de mardi dernier par un gros rhume. Jean-Pierre a prévu le 60. J'hésite avant de lui répondre surtout que le temps prévu est moyen ce week end. Une deuxième douche aurait raison de mes bronches.
Dimanche matin le temps est couvert avec du vent mais il ne pleut pas. Je suis super habillé malgré la température. Jean-Pierre passe me prendre vers 7h30 pour un départ sur place prévu à 8h. Mais son GPS n'est pas d'humeur ce matin et nous fait passer par la A6, la N104 puis la N20.....pour Lardy. Nous mettons plus de 3/4 d'heure pour arriver. Avec ces détours, nous avons du mal à trouver le départ.
Nous sortons nos affaires de la voiture. Et là, misère, Jean-Pierre s'apercoit qu'il n'a pas son casque. Il faudra redoubler de vigilance. Inscription rapide, salutation à quelques ADP puis, Grégory de Saint-Michel, que nous ne connaissons pas, vient à notre rencontre. Nous ferons le parcours ensemble, sur la partie commune des 45/60.
Nous partons en direction de la forêt de Cheptainville puis Chamarande ou nous attend de sympa singles. Nous sommes sur un tronçon commun. Certaines portions sont techniques et rendues délicates avec la pluie. Je fais attention, mais dans une descente avec des rondins en travers, je fais un écart afin d'éviter un jeune et n'ai pas vu Jean-Pierre, qui se rattrape in extremis.
Je fais attention de ne pas me mettre dans le rouge sous peine de ne plus pouvoir respirer. Mon vélo émet un cinique et typique grincement, les boitiers de pédaliers sont à ressérer.
Dans la forêt départementale du Belvédère, je suis un groupe et nous loupons une rubalise. Après avoir traversé un champs nous nous retoruvons sur une petite route sans indication, Demi tour toute pour retrouver la trace. Il faut dire que le balisage est constitué que de rubalises sans aucune pancarte (sauf quelques unes sur la boucle du 60). Il fallait avoir une bonne vue aujourd'hui. A chaque bifurcation, le jeu consiste à trouver la rubalise pour prendre le bon chemin.
Nous arrivons à l'Amandier près d'Auvers Saint Georges ou nous retrouvons Stéphane, avec quelques copains, au 1er ravitaillement. . Ils sont sur le 45. Nous repartons tous ensemble vers Boissy le Cutté. Nous faisons le tour de la butte Blanche pour rattrapé le GR11. Sur la route de Mesnil Racoin, je file tout droit, mais Stéphane me rappelle. Il y avait bien un marcage au sol mais visiblement pas de première fraicheur. D'ailleurs il y en avait pas mal un peu partout de différentes randos. Nous arrivons sur le 2ème ravito, à l'endroit du départ de la rando de d'Huison.
Nous repartons sans tarder avec Jean-Pierre sur le 60. C'est en fait une boucle supplémentaire. Nous emprutons la piste cyclable direction Bouville. Lors d'un crochet, au moment de rattraper la piste, ma roue arrière se dérobe sur un tapis de feuiiles mortes. Le vélo se couche et je glisse avec lui. Je me relève sans une égratignure à la surprise de Jean-Pierre. Cette portion est roulante et emprunte le GR111A . Malgré tout, le terrain un peu mou pèse dans les jambes. Nous faisons cette boucle seuls. Il n'y a pas d'autres concurrents. Nous sommes de retour au ravitaillement en à peine 1 heure.
Un arrêt éclair et nous repartons. Nous avons le vent souvent de face et les parties en sous bois me font en grand bien contrairement aux parties découvertes. J'ai du mal à finir et je m'abrite derrière Jean-Pierre pour les derniers kilomètres à travers champs.
Un "petit" sandwich et un bon vin chaud nous récompense de nos efforts à l'arrivée.
Un beau parcours bien équilibré. Le terrain était tout à fait correct. Je m'attendais à plus de boue. Quelques flèches de signalisation supplémentaires auraient été les bienvenues.

 

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Dimanche 01 novembre 2011 : 
  Igny (91)45 kms

Après deux week-end "familiaux", je ne laisse pas passer le 01er novembre pour rouler. Jean-pierre propose un parcours dans le coin d'Igny, forêt de Verrière/Meudon. Nous arrivons sur le parking à Igny ou nous avons l'agréable surprise de retrouver Franck. Nous attendons quelques minutes Olivier Pic. avec qui je n'ai pas encore eu l'occasion de rouler.
Le temps est agréable malgré les prévisions. Nous attaquons la forêt de Verrières par la montée infernale de Jean-Pierre, exercice toujours difficile à froid en ce qui me concerne. Je peine un peu dans un chemin jonché de branches et mets pieds à terre pour finir. Nous reprenons un chemin correct pour arriver au terrain de vélocross malgré que la fin se fasse en poussant le vélo. Un petit tour de piste et nous attaquons les singles après le Poney club. Nous longeons la A86. Ce single propose plusieurs variantes et chacun y va suivant son flair mais sans se perdre de vue.
Nous passons au dessus de l'autoroute au Petit Clamart pour rejoindre la forêt de Meudon. Olivier, en s'amusant à sauter quelques trottoirs, pince à l'arrière. Arrêt obligatoire. Franck nous fait déguster une nouvelle barre à base de......différentes ingrédients. Ah les routiers et leur potion magique ! (Pas mauvais tout compte fait)
Nous passons les étangs de Meudon et Villebon et près des terrains d' Urban Football qui m'ont couté mon genou l'année dernière. Nous sommes près de la tour Telecom et fait part de mon envie à JP. Petit détour improvisé pour se donner à mon exercie préféré. Franck attaque avec JP dans sa roue. Je me contente d'être spectateur et monte à mon rythme. A mi pente je reprends Jean-Pierre qui paye son départ canon.
Nous retournons sur la trace du jour. Le ciel commence a se couvrir. Nous enchainons les singles mais le ciel est prêt à nous tomber sur la tête......ce qu'il fait quelques minutes plus tard. La météo avait annoncée des averses en début d'après midi. J'enfile mon KWAY que j'avais quand même emmené par précaution. C'est le déluge. A Vélizy, nous stoppons sous les arbres quelques minutes mais en vain. Nous prenons la décision de prendre le chemin du retour par la route. Nous roulons à vitesse grand V sous une pluie battante.
Nous arrivons aux voitures archi trempés. Franck, en grand professionnel à de quoi se changer ce qui n'est pas mon cas. Nous plions bagages et saluons nos amis du jour sans perdre de temps.

 

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Octobre



Dimanche 16 octobre 2011 : 
   Milly la forêt (91)40 kms

 Jean-Pierre proposait la JPn'oise ce week-end, dans la plus pure tradition. Ce parcours est un remake de celui de l'année dernière ou JP avait voulu (et presque arrivé) me tuer. (C'était ma première grosse sortie 4 mois après ma rupture des ligaments croisés).
Il ne faut pas se voiler la face; Débutant : s'abstenir ! Confirmé : se munir d'une bonne paire de chaussure !. Le météo prévoit du soleil. Piolet et crampons peuvent rester au placard.
Olivier et Xavier (et deux copains Giovanni et un autre Olivier) ont répondu à l'appel. Pas de nouvelle de Franck d'ADP.
Nous sommes 6 au départ en ce dimanche matin. Notre parking habituel est fermé depuis plusieurs mois. Nous nous garons près de chez Daregal. Il ne fait que 3 petits degrés au démarrage.
Ayant la même tenue que d'habitude, avec une petite veste en plus, je me les caille pendant plus d'une heure, le temps que le soleil fasse son apparition et que la brune se dissipe.
Le départ est roulant jusqu'à Arbonne. Le froid me glasse les doigts et j'ai du mal à appuyer sur les shifters. Nous attaquons la première difficulté dans le rocher des sablons, portage inévitable, qui réchauffe tout de suite. En haut nous avons perdu Xavier et un de ses copains. Nous attendons et décidons de repartir. Effectivement, ils ont loupé une bifurcation et les retrouvons un peu plus loin.
Nous sommes 3 sur 6 à être équipés d'un GPS, pratique. Un petit arrêt au Point de vue de Hurlevent. Vraiment sympa ce coin.
Nous arrivons au single tant attendu. Il faut avoir le nez sur le GPS pour trouver la trace et ne pas louper la bifurcation . Nos 3 compagnons du jour s'éclatent à passer de rocher en rocher, surtout Xavier, le chamois de Fontainebleau, que rien n'arrête. La nuance de "tout passe à vélo" et "tout passe sur le vélo" prend alors tout son sens. Nous voyons de temps à autre Xavier sauter du vélo à la vitesse de l 'éclair et le laisser filer tout seul quand cela ne passe pas. Etant derrière, cela me permet de me lancer dans des passages dans lesquels je n'aurai jamais oser y aller seul. Belle leçon de technique !
Nous rattrapons le GR1 "sableux" jusqu'à la Maison Poteau. Petite pose pour attendre Xavier et son pote Olivier. Ce dernier a du mal. C'est la reprise après plusieurs mois d'arrêt. Après 10 mn, Giovanni décide de partir à leur rencontre en prenant le chemin en sens inverse. Nous décidons de continuer et prenons un de nos singles préférés dans la Canche aux Merciers, PJ en-tête. Je suis derrière suivi par Olivier. Jean-Pierre le dévale comme sur une piste cyclable se jouant des difficultés. La leçon de technique lui a donné de l'assurance, à moi aussi d'ailleurs. Rien de tel que la pratique !
Nous continuons et rattrapons..... Xavier et Olivier mais pas de Giovanni. En fait Xavier a coupé une partie du parcours. Une pensée pour Giovanni partit à la rencontre de.....personne du coup. De plus il n'a ni GPS, ni portable. Bonne nouvelle, habitant dans le coin il connait bien la forêt. Effectivement Xavier arrive à le joindre : il est rentré chez lui.
La fin est roulante. Nous filons à bonne allure avec Olivier sur le chemin du Nid d'Aigle, sur lequel j'étais à l'arrêt l'année dernière. Les derniers kilomètres ne sont qu'une formalité. Jean-Pierre nous rejoint et nous retournons à la voiture ou Xavier est déjà là. Il a de nouveau coupé en laissant Olivier ,HS. Il part le récupérer.
Une belles sortie de 40 kms malgré la fraicheur matinal.

 

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Dimanche 02 octobre 2011 : 
  geoportail.jpg Le Plaisiroise à Plaisir (78) 50 kms

 La rando de Beauregard faisait l'unanimité ce week-end mais notre choix s'est porté sur la Plaisoire. Nous avons la surprise de voir Olivier aux inscriptions. Il y a du monde ce matin à Plaisir. C'est une météo d'été qui est prévue malgré que nous sommes le premier WE d'octobe. On ne va pas s'en plaindre. Malgré tout, nous prenons un café avant de partir. La température matinale est fraiche.
Le parcours tourne à l'envers sur cette édition. Je ne crois pas l'avoir déjà pris dans ce sens. Le départ est roulant d'ensemble. Jean-Pierre fonce avec Olivier dans sa roue mais au carrefour, il suit un balisage qui n'est pas le notre. J'appelle olivier qui fait de même mais, trop tard Jean-Pierre ne l'entend pas. Il revient tout seul quelques minutesplus tard. Nous décidons de l'attendre au prochain ravitaillement qui est dans quelques kilomètres. A l'arrivée je lui envoie un SMS en nous ravittaillant. Il ne tarde pas à nous rejoindre. Olivier trouve sa fourche un peu molle. Je sors ma pompe haute pression pour rajouter quelques bars. Nous repartons tranquillement. Olivier est en forme et je peine à le suivre. JP nous suit à quelques longueurs.
Peu avant le deuxième ravitaillement, je frole quelques guêpes dans un sous bois. Trop tard, une m'a déjà piqué au bras gauche. Je stoppe net. La douleur est assez vive mais supportable. Nous repartons et approchons du ravitaillement ou nous retrouvons......Jean-Pierre, déjà sur place. La dernière portion à travers le forêt de bois d'Arcy est roulante. Les chemins défilent rapidement. Nous sommes de retour après 50 kms. Petit pause dans l'herbe pour finir. Record de participants battu : 900. Il faut dire toutes les conditions étaient réunies.


 

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Septembre



Dimanche 25 septembre 2011 : 
  geoportail.jpg Les Virades de l'Espoir à Saint Remy les Chevreuses (78) 60 kms

 Le Week end de la bonne action : Les Virades de l'Espoir à Saint Rémy, rando particulièrement appréciée de Jean-Pierre. Coin Sympa, temps d'été et les Saint Michel sont de sortie : Tous les ingrédiens sont réunis.
Arrivé sur place, nous retrouvons Michel puis Olivier. Après être passé aux inscriptions, nous voyons arrivé Ludovic. De retour de blessure suite à un accient de bricolage, il préfère prendre le 40. Nous avons opté pour le 60. Nous partons en laissant Ludo attendre le reste de la troupe.
Le départ se fait en direction de l'ancienne ligne de chemin de fer puis un passage éclair dans le parc du château de Breteuil. Le parcours est super roulant. Après 15kms, nous sommes déjà dans les Vaux de Cernay, le compteur indique 20 de moyenne. Il y a beaucoup de monde. Quelques singles dans le Bois Boisseau auraient été les bienvenus mais nous restons sur le grand chemin que nous avons l'habitude de prendre dans l'autre sens. Petit arrêt sur le parking du moulin des roches pour ranger les coupes vent.
Il faut attendre le 25 ème kilomètres pour avoir le premier single dans les fougères. Le parcours devient plus intéressant et ce sont des murs qui se présentent régulièrement. Je préfère faire l'impasse sur certains d'entre eux et monter les 2/3 à pieds . Certaines parties sont difficile à négocier car le 40 rejoint le 60 par moment, ce qui pose problème lorsque le terrain est technique.
J'avais étudié le parcours sur le site de l'organisation et vu qu'il n'y avait qu'un seul ravitaillement à mi parcours. Effectivement, il se situe après 32kms près de la Petite Houssière. Un monde de folie. Je me faufile pour attraper quelques madeleines et abricots secs.
Resté discret jusqu'à maintenant, Jean-Pierre redémarre sur les chapeaux de roue et nous laisse quasi sur place mais c'était sans compter la montée vers Foucherolles ou nous le reprenons. Encore une côte infernale dans le parc de Valence ou tout le monde est à pied. Décidemment, la topologie du parcours est surprenante, soit on roule à plus de 25 compteur soit on est à pieds. Ce n'est pas ce que je préfère. Je suis avec Olivier. J'essaie de suivre son rythme mais je ne peux que le laisser s'éloigner. Il est en forme ! Je récupère un autre concurrent. et heureusement car à Saint Lambert nous passons à côté d'une bifurcation sur la gauche. Il stoppe pour me montrer deux rubalises qui l'a matérialisait. Bravo le coup d'oeil !
Après l'ancienne abbaye je suis rejoins par...Olivier. Il avait fait une pose "technique" et m'avait vu passer. Nous finirons le parcours ensemble.
Nous arrivons au carrefour de la minière, plus de balisage, 6 choix possibles. Nous restons sage et revenons sur nos pas sur 500 mètres. De nouveau une simple rubalise signalait le changement de direction. Quelques panneaux auraient été le bienvenu.
La fin est plus roulante mais les kilomètres me pésent dans les jambes et derniers faux plats montants difficiles à négocier. Je ne m'en tire pas trop mal sur les portions de plat.
Nous arrivons à St rémy ou une armée de Saint Michel est présente (même Philippe G. est sorti de la couette) avec Jean-Pierre, qui nous attend depuis 20/30 mn. Nous comparons nos compteurs. Ceci explique cela, j'ai 64 kms contre 57.
On va dire que c'était pour la bonne cause mais d'un point de vu VTT, je n'ai globalement pas été emballé aujourd'hui.
 

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Dimanche 11 septembre 2011 : 
  geoportail.jpg Le Bon Saint Arnoult à Saint Arnoult en Yveline (78) 55 kms

 Il y avait des appels du pied de Xavier, pour la Chaillotine, et de Franck pour le Bon Saint Arnoult en cette fin de semaine. Mais nous avions une soirée Club "Pizza" puis un remake de la nocture le samedi. Pour ma part, je me suis arrêté à la pizza. Jean-Pierre fait des infidélités (pour une soirée) à PJ Step... et suis mon régime diététique, style ALTAVTT. On en profite pour se mettre d'accord sur le Bon Saint Arnoult (la moins loin) le lendemain malgré que la Rando des Renards ne m'aurait pas déplu.
Le lendemain, je découvre un SMS de Jean-Pierre envoyé dans la nuit : "Il déclare forfait, il est rentré trop tard". C'est la version officielle. A moins que mon régime qui ne lui ait pas réussi.
J'hésite donc à changer de destination et garde St Arnoult. Je me dépêche de mettre mon vélo dans la voiture pour partir. Je suis sur place à 8h15. Pas grand monde aux inscriptions. Je m'acquitte de 5 euros et pars tranquillement (J'ai eu mal aux jambes en fin de semaine) sur le 55. Il n'y a pas d'ADP aux alentours, ni de Saint Michel. Ce sera une sortie en solo. Le temps couvert les a probablement découragé.
On tournicote entre bruyère et fougère et alterne montées et descentes. Ce coin est vraiment sympa. Un peu moins d'une heure plus tard, j'arrive au premier ravitaillement à La Chapelle Saint Anne. Il y a peu de monde. J'avale chocolat et fruits secs en vitesse. Quelques gouttes commencent à tomber. Les organisateurs essayent de se mettre à l'abri sous une bâche de fortune. Je passe prudemment un pont de bois en repartant. Le tracé fait le tour de Bullion. J'arrive à Bonnelles et il pleut vraiment. Je m'arrête et remets mon coupe-vent. La portion de route jusqu'à la Butte aux loups en forêt d'Angervillers finit de me tremper. Jusqu'à maintenant, j'entendais bien la pluie tombée dans les arbres. Mais, le tracé est quasi tout le temps en sous-bois donc seulement quelques gouttes transpersaient le feuiilage encore dense. Les passages dans les bois me permettent de sécher. Nous sommes loin des 30° de la veille mais il ne fait pas froid.
J'arrive au deuxième ravitaillement à la Princerie, sous la pluie, après 34 kms . Encore moins de monde qu'au premier. Arrêt éclair. J'arrive à la bifurcation 40 et 55/70. J'hésite à prendre le 40 comme beaucoup mais je décide de continuer en augmentant le rythme. Il reste une vingtaine de bornes et il ne pleut que par intermittance. Il n'y a plus de concurrent et je roule pendant plusieurs kilomètres sans voir personne. Le parcours est maintenant un peu plus roulant malgré quelques passages délicats. Une belle côte, rendue un peu glissante m'oblige à mettre pied à terre. Des remontées de chaîne commencent à apparaitre lorsque j'utilise le 22 dents. Le terrain reste correct dans l'ensembe et je finierai sur les 2 autres. Au Bouc étourdi, un gars de Ponthierry, probablement sur le 70, s'étonne de me voir seul et me demande si je me suis perdu. C'est un lecteur du blog de KHS91 d'ou ça présence aujourd'hui. Il a aperçu deux flèches d'ADP plus tôt dans la matinée. Plus de doute, Franck et Marco sont bien sur place. Je finirais en sa compagnie par les grandes allées de la forêt de Saint Arnoult. La pluie s'est finalement arrêtée. Je suis moucheté de boue et seulement un peu "humide" à l'arrivée. Cela aurait plu être pire.
Le temps a fait son effet. Il n'y a quasi personne au lavage. J'attends mon tour (à noter 3 jets avec une bonne pression) avant de prendre mon casse croute. Une organisatrice m'en propose deux pour le prix d'un. Il faut dire qu'il est 12h20 et qu'il y a encore du stock.
 

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Dimanche 04 septembre 2011 : 
  geoportail.jpg La Ballancourtoise à Ballancourt (91) 55 kms

Plus de 30° degrés samedi avec un gros orage en fin d'après midi.La météo pour le lendemain n'est pas très optimiste avec une pluie annoncée jusqu'à 8h. Effectivement, il pleut lorsque je me lève dimanche matin. Je m'attends à moitié à recevoir un SMS de Jean-Pierre mais rien, il se pointe à l'heure prévue. M...... ! Il ne tombe plus que quelques gouttes.
Le WE dernier Michel nous avais fait part de ses intentions de venir...après le boulot.
Arrivé sur place, il pleut. Nous sortons les vélos et allons nous inscrire en essayant de rester à l'abri. Je suis moyennement emballé mais Jean-Pierre, en KWAY manche courte est prêt à affronter les intempéries. Inscription contre 6€ (!) et plaque de cadre n°769. Nous sommes sur vélo et miracle, la pluie s'arrête nette. Pas de Michel, nous partons sur le 52kms qui démarre par un single après être passé sous la N191. Ce single, en sous bois, est technique et la pluie l'a rendu glissant. Nous arrivons sur un mur à descendre. Personne ne s'y risque et je préfère le passer à pied en m'accrochant à ce que je trouve. Dans un passage rocailleux, nous passons un concurrent le tibia en sang. Le tracé est vraiment sympa mais il faut être vigilant et garder toute son attention.
Nous sommes à pied dans une côté rendue glissante. Nous rattrapons Roland et Jacques que nous saluons vite fait.
La moyenne s'en ressent, un peu plus de 11 seulement. Nous arrivons au premier ravitaillement après 17 kms sur le plateau de la Beauce. Les derniers kilomètres étaient plus sympa à rouler car le terrain, plus sec. Le gâteau de semoule est présent, accompagné de 4/4, raisins secs, pruneaux, bananes, abricots, chocolat,...
Nous repartons et bifurquons, à droite, vers la Garenne de la Padole puis la Louvetière. Le fléchage est impéccable. J'apprécie les panneaux vous informant, suite à une bifurcation, sur quel circuit vous vous situez , pas de doute possible.
Cette partie est plus difficile, côtes et descentes s'enchainent sans relache. Les singles en sous- bois sont toujours piégeux. Il y a fréquemment des concurrents au tapis. Loin de leur caractéristique première, les Barracuda ne s'en sortent pas trop mal, probalement en raison de la taille de leur crampon. Ce pneu est également bien pourvu latéralement.
Le second ravaitaillement, à côté du Château d'Eau de Retolut, se profile à l'horizon. A notre grand bonheur, il est aussi bien fourni que le premier. Je reprend d'ailleurs 2 fois du gâteau de semoule.
Nous repartons vers Puy Sauvage et Mondeville. 50 mètres après je m'arrête régler ma selle, elle descend toute seule. Après de nouveau 50 mètres, nouvel arrêt, je l'a remets droite.
Dans une côte, la chaîne de Jean-Pierre se bloque, j'étais dans sa roue (comme souvent aujourd'hui) et je passe de justesse à côté. Je profite de la sortie du bois de la Roche aux Dames et reste sur ma lancée, de courte durée car nous attaquons la Butte Pelée. Je suis 2 concurrents, qui filent à bonne allure, avant de longer le célèbre single en bordure du Fond du Temple dans lequel je jette mes dernières ressources.
De retour au point de départ après 4 heures et 55 kilomètres, le sandwich "rillette" est le bienvenu. Une superbe rando éprouvante sous une météo qui s'est bien tenue. Balisage, ravitaillements, organisation, tout était au top aujourd'hui. Bravo !
 

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Août


Dimanche 28 août 2011 : 
  geoportail.jpg L'Oncéeene à Oncy sur Ecole (91) 55 kms

L'oncéenne, version été de la Gâtinaise. Peu de volontaire de Saint Michel, seul Michel répond à l'appel. Nous le retrouvons donc au départ. ADP est à envoyé une impressionnante délégation. Nous en saluons quelques à notre descente de voiture. C'est avec plaisir que nous échangeons quelques mots avec Franck et Marco avant de passer aux inscriptions. Ce sera le 55. Il fait frais ce matin (13°). Cela change vraiment du WE dernier. Nous partons sur un bon rythme imprimé par Michel. Trop d'ailleurs, j'attends que la machine chauffe.
Nous nous dirigeons vers la Ferme de Coquibus pour nous rendre vers les Trois Pignons. Il y a beaucoup de monde. Alors que le chemin se dirige vers la gauche une flèche est placé de manière ambigue à "11h" sur la droite du parcours. Tout le monde file tout droit sur la piste cavalière. Le décor est magnifique mais nous ne sommes pas sur le bon chemin. Après un bon kilomètre, arrivé à un croisement, nous voyons des vététistes revenir d'un peu partout, il n'y a pas de balisage. Nous décidons sagement de revenir sur nos pas jusqu'à la derbière balise. Le chemin était bien à gauche.
Le parcours est roulant et emprunte quasi que du chemin "praticable". Nous sommes déjà à 20 kms, pas de ravito en vue. Je prends une barre au passage qui, d'habitude, annonce un ravitaillement. Mais aujourd'hui, il faut encore rouler 8 kms pour arriver au premier. Vraiment étonnement ce ravitaillement à mi parcours, est ce que la crise touche également les rando ? Bien évidemment un monde de folie, le stand est dévalisé. Je discute avec une "Ballancourt" sur le tracé de la Ballancourtoise. Elle porte un Flyers sur son camel et nous invite vivement à venir dimanche prochain.
Nous repartons et traversons le Plateau des Six Fermes, sans intérêt. Michel repart comme une fusée. Comme la semaine dernière, j'ai un peu de mal à tenir un bon rythme contrairement à Jean-Pierre, qui est en forme. Son coup de chaud du WE dernier n'est plus qu'un mauvais souvenir. Je me contente d'essayer de limiter les dégâts.
47 kms et 2ème ravito. Plus de choix et moins de monde. La fin de parcours tourne en forêt de Malabri. Un concurrent nous double avec Jean-Pierre dans sa roue. Je hausse le rythme mais ce n'est pas suffisant. Je les garde dans ma ligne de mire jusqu' au moment ou mon portable sonne. Zut il est dans le camel, Je stoppe et je loupe l'appel de Philippe le nantais qui vient de terminer sa rando. Je repars, l'horizon est désert maintenant.  Je reviens sur Michel dans les quelques côtes avant de rallier l'arrivée.
Je suis déçu de cette édition 2011 : ravitaillements bizzarement positionnés, fléchage minimum et parcours avec très peu de singles.
 

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Dimanche 21 août 2011 :
  geoportail.jpg La Rando Sud Essonne à D'huison Longueville (91) 52 kms

Petit mail de Jean-Pierre de retour de vacances. Il me propose d'Huison Longueville. Bizarre, je n'avais pas remarqué cette rando. Je l'ai confondu avec celle de Boutigny, la Trans Sud Essonne. Il l'a déjà faite l'année dernière et en garde un bon souvenir. Je n'ai pas trop de dispo actuellemnent et n'ai pas roulé depuis mon retour de vacances en juillet. Quoique que le paysage est magnifique, les côtes du Morbihan ne sont pas propices au VTT pur.
Nous arrivons sur place vers les 8h15. Le temps est mieux que prévu. La météo avait annoncé des orages. Le ciel est dégagé. La température est supérieure à 20°. Le camel est plein tout comme mon bidon. Il ne faut rien négliger lorsque l'on roule sous une telle chaleur.
Nous nous inscrivons sur le 52kms (5€) et prenons un café. Il y a beaucoup de monde. Le tracé du parcours est en terrain connu, Boutigny, Moigny, Champcueil, Ballancourt, mais toujours agréable.
Nous roulons tranquillement. J'ai du mal à me mettre dans le rythme. Une côte après Vayres me met un peu en jambe. Je préfère rester sur un rythme tranquille aujourd'hui et priviligie la vélocité. Le premier ravitaillement tarde à venir. Je me ravitaille d'une barre sur une portion de route. Jean-Pierre me fait remarquer; qu'en règle générale, le ravito arrive souvent juste derrière. Mais il faut attendre le kilomètre 22 pour le voir. En me ravitaillant (Chocolat, pain d'épice et abricot pas très sec étant donné la chaleur), je discute avec un concurrent qui est sur le 72, il a 28 kms au compteur
Le temps était calme mais le vent s'est levé. Je resterai donc sur mon rythme de départ. Je lâche les freins dans une descente sinueuse en suivant un concurrent à quelques dizaines de mètres devant. Un vrai plaisir, mais de courte durée. La roue arrière chasse régulièrement dans les virages. Il n'y a pas de doute, je suis crevé. Arrêt obligatoire au km 28. Nous sommes à moitié parcours, je préfère changer de chambre que d'essayer de regonfler. Cinq minutes plus tard, nous repartons.
Nous arrivons sur le deuxième ravito après 38 kms et voyons Patrick et Eric avec sa nouvelle monture, il a besoin d'huile. JP le dépanne. Nous repartons, sous quelques moqueries, sur le 52. Nos amis sont probablement sur le 72.
Le vent joue son effet et pèse dans les jambes. Il va falloir en garder sous la pédale pour le final.
A notre grande surprise nous arrivons sur un nouveau ravitaillement alors que le compteur indique 48 kms. Petite discussion avec l'organisation, le 52 ne passe pas par ici normalement, pourtant nous sommes plusieurs à s'y retrouver. Malgré un fléchage impeccable, nous avons du louper une balise à mon grand étonnement. 2 possibilités : rejoindre le départ par le route à 7/8 kilomètres ou continuer le parcours, il reste 12 kms. Nous choisissons la 2ème solution et faisons le plein d'eau. Cela nous fera un 60.
Nous repartons. Ce n'est que qu'après plusieurs kilomètres que je m'aperçois que JP n'est plus derrière. Je patiente sur une petite portion de route mais repars seul. Je commence à fatiguer et mes jambes manquent de fraicheur. Un concurrent me dépose littéralement sur place dans une belle côte. Je monte à mon rythme.
Je passe le passage à niveau à la sortie du Bois de Guigneville. L'arrivée est proche, il était temps. Sur la piste cyclable je croise Patrick en voiture. Tout compte fait il ne devait pas être sur le 72 mais bien sur 52 et sans avoir fait d'erreur de parcours.
Jean-Pierre arrive un peu plus tard au ralenti. Il est épuisé et s'écroule devant moi encore assis sur son vélo.Je suis inquiet un bref instant mais se relève après quelques minutes. Il a fini au courage mais c'était vraiment juste aujourd'hui. Nous avons presque 64 kms au compteur. il y en avait bien dix de trop. Une "grosse" sortie sous une "grosse" chaleur. De bonne augure avant l'Oncéenne et la Ballancourtoise des 2 prochains WE.
Une belle manifestation avec une organisation omniprésente lors des traversées de route.
 

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Juillet



Dimanche 03 juillet 2011 : 
  geoportail.jpg La Nez de boeuf à Maisse (91) 55 kms

Je n'avais pas fait l'édition 2010 de la Nez de Boeuf. Nouvelle date et nouveau lieu donc.
Nous arrivons avec Jean-Pierre dans le centre de Maisse mais le fléchage nous indique un autre lieu que l’habituelle cour d'école près de l'église. Nous suivons donc le balisage et sortons de Maisse. Petite interrogation mais nous arrivons au nouveau lieu de départ, le stade à Tramerolles. L'accès n'est vraiment pas facile. La rue est étroite et tout le monde a du mal à se frayer un chemin, voiture comme VTT.
La veille pas de réponse du team Saint Michel au mail de Jean-Pierre faisant part de nos intentions. C'est une agréable surprise de voir arriver vers nous Michel H1. Il avait répondu au mail mais tardivement. Dommage il nous attendait depuis une petite demi-heure. Le train "vert" sera composé de 3 wagons aujourd'hui et même 4 avec la présence de Rolland, qui roule avec une autre compagnie.
Inscription rapide puis départ pour le 55. On n’est pas super en avance. Le départ attaque d'emblée dans le technique et la difficulté en direction de Gironville Souvent une habitude sur cette rando. Beaucoup de monde et je suis déjà à pieds dans la première côté. Nous rattrapons bientôt le parcours traditionnel en forêt de Saint Eloy puis de Malabri
J'ai un peu de mal ce matin. Je suis Jean-Pierre et Michel à quelques dizaines de mètres. Le terrain est vraiment varié et....sablonneux. Ici non plus les quelques gouttes éparsent des dernières semaines sont sans effet.
En bas d’une descente très technique, je salue Eric du club de Chilly, qui cherche Partick ainsi qu'un ADP qui attend deux collègues. Je lui fais part que nous avons vu ces collègues arrêtés seulement quelques kilomètres après le départ. Nous continuons et croisons Marco qui revient sur ces pas, ne voyant pas le reste arriver.
Après 15 kilomètres le premier ravito arrive. Une partie du groupe ADP est là avec Franck, de retour de Paris-Nice. Un brin de causette et nous repartons après eux.
Toujours beaucoup de sable, dans une montée impossible tout le monde est à pied. A mi-pente, je tente de repartir, mais le pédalier tourne tout seul : l'attache rapide vient de sauter. Je finis la côte à pied, comme tout le monde. En haut nouvelle attache et un coup de WD40 avant de repartir.
Le terrain n'est pas facile. Dans un single en montée, j'entends : "Bonjour, vous êtes le papa de Clément ?. Euh oui. Vous lui passerez le bonjour de la maman d'Alice. Ce sera fait !".
Les kilomètres s'enchainent et pourtant, après plusieurs endroits possibles pouvant accueillir les ravitos, nous ne voyons pas le second arriver. Il faut attendre le 41 kms, soit 25 kms après le premier ! Jean-Pierre n’arrive pas. Un ADP nous dit qu'il a des problèmes de dérailleur ce que confirme Rolland à son tour. Il arrive après plusieurs minutes : son dérailleur avant refuse de bouger. Le WD40 n'y fait rien et on se résigne à trouver la panne. Jean-Pierre le cale sur le plateau du milieu et jouera avec l'arrière en espérant que la fin est facile. Nous repartons à bonne allure à travers champ. Les difficultés reviennent. La maman d’Alice m’encourage dans une côte ou tout le monde est à pieds. Il faut dire que les difficultés commencent à user les organismes. C’est maintenant un enchaînement technique de petites bosses. Effectivement le final de l’édition 2009 me revient à l’esprit. Ce n’est pas de tout repos. Une petite pensée pour JP en « mono » plateau. Je préfère passer une descente à pied avant l’arrivée sur Maisse. Mais alors que nous arrivons ou nous nous garions dans les éditions précédentes et signalait l’arrivée proche, le parcours bifurque vers la droite dans une énième montée. Et c’est reparti pour quelques singles.
Au panneau 10/15 retour par la route, les autres parcours repartent par un chemin suivi d’une côte assez longue mais pas difficile. Le single en haut est de toute beauté et nous redescendons enfin sur le stade. Jean-Pierre est déjà sur place. Il a coupé les dernières boucles.
Un beau parcours de VTT physiquement éprouvant par les enchaînements et le sable omni présent.

 

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Juin




Dimanche 26 juin 2011 : 
  geoportail.jpg La 8ème boucle Menneçoise à Mennecy (91) 60 kms

Je remonte ce WE sur mon VTT après 3 semaines sans avoir roulé. Avec Jean-Pierre, nous avions programmé la Troglodyte à Rouen, mais le manque de temps pour préparer le déplacement et une semaine chargée nous ont stoppé dans notre élan.
Un coup d'oeil vite fait sur les différents calendriers mais il n'y a pas grand chose dans le coin, jusqu'au mail de Jean-Pierre samedi pour la 8è boucle Menneçoise. Jamais entendu parlé. Un 60 kms à côté de la maison ne se refuse pas surtout avec cette météo.
Jean-Pierre passe me prendre quand s'arrête devant la maison Patrick et Christophe d'ADP, qui part rouler en forêt de Fontainebleau car le terrain risque d'être boueux dans le coin ! Ah bon !
Nous arrivons sur place vers les 08h20. Inscription et départ. JP avait récupéré la trace du parcours sur le site des organisateurs. Mais impossible de la retrouver sur son GPS au moment de s'en servir. Je programme le mien sur l'itinéraire. GPS plus fléchage impossible de se perdre aujourd'hui.
Le départ est roulant. Chevannes, Champcueil puis forêt Départemental des Grands Avaux. Par habitude, je suis plus souvent le GPS que le fléchage. A Noisement, la trace est toute droite alors que le fléchage part à droite. Je décide de suivre le fléchage et effectivement, nous retrouvons la trace un peu plus loin. Il va falloir que je reste sur mes gardes. mais ce qui devait arriver...arriva. Le nez sur le GPS je ne vois plus de rubalises accrochés. Un petit mot à Jean-Pierre mais en fait il se laissait tranquillement guidé en restant dans ma roue. On décide de suivre la trace. On se dirige vers Beauvais dans la vallée de Chenevrière mais elle bifurquait vers la droite : demi tour. Elle emprunte en fait un chemin barré d'une clôture. On hésite puis passons l'obstacle. Mais après 50 mètres c'est un cul de sac. Retour arrière. Nous arrivons à retrouver le parcours après 300 mètres. Maintenant, je suis le fléchage !
Nous avons failli passer devant le premier ravitaillement sans s'arrêter. Il se situe juste à la sortie d'un bois on nous roulions à bonne allure.
La deuxième partie est plus technique et difficile. Elle tourne autour de la Louvetière en direction de Videlle. Nous suivons un concurrent qui me laisse passer. Il connait bien le coin et veut voir ce que je donne dans la prochaine côte. Pas de soucis, j'attaque tranquillement la diffculté. Effectivement, elle est sacrément raide. J'en monte une bonne partie et mets pied à terre à quelques mètres du sommet. Nous sommes qu'à mi-parcours et l'expérience parle, c'est sur ce genre de difficulté que je me "crame". De plus avec un 34 dents, c'est dur dans les bosses avec un gros pourcentage.
Nous passons quelques côtes difficiles à négocier. Les cailloux sont nombreux et il vaut mieux appuyer avec délicatesse sur les manivelles. Je me lache un peu dans quelques portions de plat avant d'arriver sur le deuxième ravito, en plein soleil.
Arrive à leur tour, Jean-Pierre et le fameux concurrent qui se prénomme Michel et à ....66 ans. Sacrément en forme ! Nous faisons connaissance avant de repartir tous les 3 pour les 20 derniers kilomètres.
La troisième partie nous emmène vers Ballancourt, Champcueil, Chevannes et Mennecy. elle est plus roulante que la précédente et je file à bonne allure avec Michel dans ma roue. Mais bizarrement il ne veut pas prendre les relais. Jean-Pierre est un peu distancé. Il paie un peu son effort dans la super côte. Il s'y est repris à 2 fois pour la passer avec succès. A quelques kilomètres de l'arrivée, je vois une bifurcation au dernier moment et fait un gros freinage, ce qui m'occasionne une super douleur aux jambes (?) Je laisse filé Michel et un autre concurrent en attendant que la douleur s'estompe. Je reviens tout doucement sur eux et finis avec seulement Michel. Il est 12h20 et j'ai 58kms au compteur.
Une super rando sous un soleil de plomb ou je me suis un peu lâché, peut être trop. Un mélange de Claude Varoquier et de Ballancourtoise bien agréable.
Jean-Pierre est récompensé au tirage au sort d'un magnum de Médoc 2001 SVP.
Un petit clin d'oeil à ADP, Nous avons rencontré quelques flaques sur le parcours, c'est vrai, mais pas de quoi se noyer ! D'ailleurs le vélo est couvert de....poussière.

 

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Dimanche 05 juin 2011 : 
  geoportail.jpg La Magny Futé à Magny les Hameaux (78) 60 kms


Itteville (La bédouine), Bullion (recommandé par Philippe L.) et La Magny-Futé à Magny le Hameau. Les parcours ne manquent pas ce week-end. Le dernier est proposé par Jean-Pierre. On décide de faire une infidélité à la Bédouine cette année pour aller à Magny. Le parcours est alléchant après la déconvenue de la JR.
On a un peu de mal à trouver le stade à Magny. Il est 8h45 lorsque l'on s'inscrit sur le 60. Nous sommes dans les derniers à partir.
Après quelques kilomètres, une clochette me suit depuis peu et me double. C'est en fait un chien qui fait la rando avec son maître. L'Epagneul, visiblement habitué, tourne à un rythme soutenu. On roule à plus de 20. D'ailleurs on le retrouva, toujours sur le parcours, 10 kms plus loin.
Comme prévu le parcours est magnifique et varié quoique un peu humide avec les averses de la nuit. J'ai hésité, à tort, à prendre les gardes boue. (Ils sont dans la voiture). Jean-Pierre pousse un sprint sur l'ancienne voie ferrée et prend un peu d'avance. Malheureusement, dans un single, nous croisons un concurrent mal en point : les pompiers et le SAMU sont déjà sur place. Une grosse côte ponctue cette première partie avant le ravitaillement.
Direction les Vaux de cernay, partie zappée lors de la JR. C'est un vrai plaisir de la retrouver. Lors d'une descente technique, je fais un écart et me rappe le mollet gauche sur une bonne partie. Petit arrêt pour laver et désinfecter. C'est assez impressionnant mais superficiel.
Il n'y a pas grand monde sur le parcours et nous roulons tout seul pendant des kilomètres. La végétation est dense. Le casque et les lunettes sont les bienvenus.
Le deuxième et dernier ravitaillement est désert. Il commence à être tard. A priori il n'y a que très peu de candidats derrière nous. Nous rattrapons un attardé du 40 qui accélère lorsque nous le rejoignons. Mais il en faut plus aujourd'hui pour me laisser sur le carreau. Il était en fait à l'agonie et la côte suivante a raison de lui. La fin de parcours approche mais pas les difficultés. les côtes s'enchainent vers Milon. Le terrain me convient bien mais il commence à peser dans les jambes de Jean-Pierre. Il finiera au courage comme à son habitude.
Je pensais à une petite sortie "tranquille". Une superbe rando comme je les aime surtout que tout (presque) se passe sur le vélo, et ça j'apprécie. Je reviendrais avec plaisir l'année prochaine si le calendrier le permet.

 

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Mai



Dimanche 29 mai 2011 : 
  geoportail.jpg La 91 à La Norville (91) 55 kms

 Ce week end il y avait La 91 et la fête des mères. Impossible de rentrer en retard. Jean-Pierre me donne rendez vous de bonne heure. Il est 6h30 dimanche matin lorsque je reçois un SMS : il a de la fièvre et un terrible mal de gorge. Il déclare forfait. Je me lève immédiatement. Une demi heure plus tard, je pars de la maison.
Je suis donc prêt plus tôt que prévu. Il est 7h50 quand je pars pour le 55kms. Nous partons direction Cheptainville puis nous passons sous la voie ferrée à Lardy. Je suis en terrain connu. La boucle est différente de l’année dernière mais emprunte que des chemins déjà foulés. J’arrive au premier ravitaillement au 17ème kms après une heure de route. Grand choix. Je fais également tamponné mon carton de route. Je repars direction Cerny. Je pousse une petite accélération jusqu’au Gymnase d’où part la rando de Cerny. Je traverse la D191 et arrive à la bifurcation 55/70. Je prends le 55 et me retrouve rapidement tout seul. Il faut dire qu’il est très tôt et beaucoup de concurrents prennent le 70. Je monte vers la butte Hébert et plus.. de balisage. Je croise des vététistes qui redescendent. Tout le monde stoppe. Il n’y a quasi personne de l’organisation sur le parcours et nous sommes perdus. Nous décidons de remonter. Chacun y va de sa mémoire pour retrouver une trace. Mais les avis diverges, plusieurs groupes se forment. Je regarde la trace sur les GPS. Nous sommes à mi course et décide de rester sur le GR. Je reconnais un relais téléphonique dans la Guette Lièvre. Presque arrivée à la Croix des quatre chemins, je retrouve un fléchage mais je suis à contre-sens, quand, je croise deux VTT de l’organisation qui sont sur le 70. Je ne veux pas revenir en arrière et prend le chemin balisé que je viens de trouver. Je descend sur Boissy le Cutté, puis Villeneuve et Auvers Saint Georges ou se situe le 2ème ravito. Un barrage digne d’un poste frontière barre la route. Impossible de passer sans son carton. Pas moins de 3 personnes contrôlent. Etrange alors que je n’ai vu personne sur l’ensemble du parcours. Pourtant certain croisement méritait une présence. Je me restaure vite fait avant de repartir vers Chamarande. Cette dernière boucle passe dans le Bois de Panserot et est vraiment sympa. Un vrai plaisir. Le chemin prend la direction de Torfou et le fidèle retour « pied-dedans » pour redescendre vers Avrainville. J’arrive à la Norville en passant par une nouvelle zone pavillionnaire en travaux. J’ai peur que ce passage ne soit plus dispo l'année prochaine. Je suis de retour à 11h. J’ai des remords à prendre une bière à cette heure là ce sera le casse croute traditionnel avec un panaché contre……le carton de route bien sur. Je n’ai que 50 kms au compteur sur les 55 prévus mais aujourd’hui je serai à l’heure. Les week ends se suivent mais ne se ressemblent pas.
Un parcours différent de l’année dernière tout fois assez roulement. L’organisation annonçait 650 de dénivelé. 
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Dimanche 22 mai 2011 : 
  Montlhéry (91) 58 kms

Il y a la Lyricantoise à Larchant. Xavier a  une place en rab. Je regarde tous les ans si le tarif de cette super rando est à la baisse, mais non toujours pas. Je laisse donc  la proposition à Jean-Pierre mais il doit être de retour pour midi et la décline. On fera donc un tour dans le coin jusqu’à la forêt de Turpin.
On récupère Olivier à la basilique de Longpont et nous dirigeons vers la Tour de Montlhéry. Nous empruntons une partie du chemin de la nocturne. Nous montons vers la tour. Le terrain est sablonneux comme jamais. C’est probablement dû à la sécheresse actuelle. Nous arrivons au sommet. Je passe à droite de la tour comme la nocturne mais Xavier et Jean-Pierre prennent à gauche. Je fais demi tour et les rejoints. On prend la direction de l’autodrome. Sur le plateau on retrouve Serge et David. On roule ensemble jusqu’à Turpin. Et là incroyable, les ornières sont sèches. Nous prenons le chemin du retour via Marcoussis. Jean-Pierre reste dans ma roue dans la montée de l’Escargot mais ne résiste pas à une petite accélération. Nous prenons le chemin du retour par Villejust et la forêt de Saulx. Une belle sortie de plus de 50 kms et presque 800 m de denivelé.
 

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Dimanche 15 mai 2011 : 
  geoportail.jpg La Claude Varoquier à Ponthierry (77) 55 kms

 Une rando, chère à Jean-Pierre, qui m'en a souvent fait des éloges et à laquelle je n'ai jamais participé en 15 éditions : La Claude Varoquier à Ponthierry. Nous mettons donc de côté la rando de Leudeville, de retour au calendrier cette année.
La semaine a été chargée et c'est un peu avec regret que j'ai donné rendez vous à Jean-Pierre. De plus, je suis encore sous antibio pour une pharyngite "résistante" et je dois être de retour impérativement entre 12h/12h15. Trop tard, je vois passer un mail : nous serons sur place pour 7h30 donc levé à l'aube. Nous nous alignerons sur le 55 étant donné mes contraintes. (Jean-Pierre était partant pour le 70). Xavier sera également présent.
Nous arrivons sur place peu après 7h30 ou nous attend Xavier. Inscription (5€) rapide puis départ. Nous trouvons difficilement le départ. Le parcours n'est fléché qu'à partir de la route. Nous croisons Michel et Ludovic qui arrivent à leur tour.
Le départ est roulant comme Jean-Pierre nous l'avait expliqué, le temps d'arriver en forêt des Avaux.. Après 6 kilomètres à travers champs, Xavier stoppe : crevaison. En bon mécanicien expérimenté, JP vérifie si il n'y a pas d'épine restée dans le pneu pendant que Xavier sort une chambre à air (ah l'expérience). Nous repartons quelques minutes plus tard.
Nous attrapons la forêt à Nainville les Roches. Le terrain est sablonneux et jonché de cailloux avec des montées et descentes très techniques. Je préfère d'ailleurs poser le pied à terre sur certaines d'entre elles. Un vrai parcours de VTT qui me rappelle les Cadoles. Le parcours promet d'être dur. L'organisation avait annoncé 900m de dénivelé sur le 55 kms. Les difficultés s'enchaînent et lors d'un moment de répit (50 mètres de route), je suis seul, pas de JP ni de Xavier, pourtant on était quasi ensemble. Je stoppe et les attends quelques minutes : Jean-Pierre a fait une grosse chute mais sans gravité apparente.
Nous ne tardons pas à arriver au premier ravitaillement. Le compteur affiche 20 kms. Jean-Pierre soigne ces blessures heureusement superficielles, quelques égratignures.
Nous repartons dans de supers singles. Certains sont d'ailleurs assez chauds. Il valait mieux avoir un casque et des lunettes et éviter de s'emballer. Peu avant le deuxième ravitaillement, le parcours propose une descente technique ou son contournement. Je choisis la deuxième solution pendant que Jean-Pierre et Xavier se lance dans l'aventure.
Nous arrivons au 2ème ravito seulement 10 kms après le premier : Pruneaux, raisins secs, abricots secs, bananes, orange, 4 quart, chocolat, compote entre autres. Après un super passage dans les Georges près de Videlles, nous rattrapons l'Aqueduc de la Vanne. Je roule tranquillement quand Ludovic me rejoint. Il est accompagné de Michel, un peu en retrait. Xavier et JP ne sont plus derrière. Nous stoppons pour les attendre après avoir traversé la D83. La vue est dégagée mais nous n'apercevons personne. Ils finissent par arriver après quelques minutes, petite erreur de parcours ! ouf ! Je préviens Xavier en rigolant, de ne pas suivre Jean-Pierre, mais il m'avoue qu'il était en tête et qu'il a loupé une bifurcation ! Je reconnais cette portion et cela grimpe encore pour arriver sur le plateau de la Beauce. La végétation a poussé. Dans un single plat, ma pédale droite heurte quelque chose, je me rattrape de justesse mais mon genou droit frotte sur le pneu avant. La douleur est forte mais s'estompe peu à peu. Nous descendons vers la plaine de Beauvais par la Vallée de Cheneviere. Surprise, il y a un ravito près du centre équestre. J'ai 48 kms à mon compteur. L'heure est déjà avancée. Nous faisons un ravito éclair. Il ne reste que 7/8 kms et je mets un peu le pied dedans. Pas soucis, c'est roulant maintenant nous dit Jean-Pierre. Heu, pas si roulant que ça jusqu'au bois des Fontaines. Nous retrouvons et doublons Serge, Philippe, puis notre président. Nous arrivons à Saint Sauveur, le compteur vient de passer la barre des 55 kms. Xavier est dans ma roue. Mais Jean-Pierre a de nouveau disparu. Nous continuons sur notre rythme et arrivons à Pringy en suivant l'Ecole. Nous arrivons à Ponthierry à 12h30 après 63 kms. Il tombe quelques gouttes (Je suis vraiment en retard) Je fais part de la différence de kilométrage à l'organisation chargée de récupérer les plaques de cadres à leur grand étonnement.
Tout Saint Michel arrive à son tour puis Jean-Pierre qui n'a pas vu une bifurcation, avec 67kms au compteur. Je me dirige vers le buffet avec mon carton de participation à la main. "Il faut le mettre dans la boite pour le tirage au sort, me dit on gentiment". Je m'exécute et prends mon casse croute/bière. On se restaure devant le tirage. Serge gagne une paire de chaussures, le lot suivant est un appareil photo numérique puis un lecteur DVD portable. Viens le gros lot ! Un VTT TREK 3700 DISC. La première personne appelée n'est pas là, nouveau suspens et chose incroyable, le deuxième carton est le mien. Je reste un peu abasourdi, n'ayant en général peu de chance. Jean-Pierre immortalise la scène avec le maire et le président du Club. Il est plus de 13h quand nous prenons le chemin du retour, soit avec une heure de retard.
Que dire. Comment ai je pu louper cette randonnée ces dernières années ? Une organisation impeccable hormis la différence de kilométrage à l'arrivée. Un superbe parcours à la hauteur des rando reconnues. Je qualifierais cette rando de "petite Jean-Racine" tout simplement. Je vous invite tous à y participer l'année prochaine. Et dire, que j'ai failli ne pas venir ! Merci à Jean-Pierre d'avoir insisté ( j'ai donné tes coordonnées à ma cousine).

 

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Dimanche 08 mai 2011 : 
  geoportail.jpg La Mazaryvette à La Ferté Alais (91) 60 kms

Le rendez-vous incontournable de l'année en Essonne, la dixième édition de la Mazaryvette était ce week-end.Un refus administratif d'une mairie oblige l'organisation à supprimer le 85 et allonger le 70 en 76. C'était ce dernier que j'avais visé. Jean-Pierre passe me prendre vers les 7 heures. Inscription, retrait de la plaque de cadre, café, à 8 h nous sommes en selle. Petit mésentante, je me suis positionné sur le 76 et JP sur le 60. On verra bien la forme du moment mais je couve un début d'angine !.
Le parcours est quasi identique à l'année dernière mais il tourne cette fois à l'envers. C'est un beau tracé que je n'ai jamais effectué dans ce sens. La météo est encore très favorable ce week-end, cela promet une agréable sortie.
Direction de le Bois de Guigneville. Une petite montée nous met en jambes. Dans les Greffières un mur d'une vingtaine de mètres se présente. Les concurrents devant moi ne passent pas tous. Je fais quelques tours préalabes afin de trouver le bon développement. J'ai toujours mes problèmes de vitesse (mes nouveaux shifters devraient arriver bientôt, en espérant que ce soit ça). Décision prise plateau 32 et grand pignon me permettant de prendre assez d'élan et de pédaler au maximum. Et ça passe de justesse. La suite est constituée de singles bien agréables qui nous conduisent jusqu'au premier ravitaillement (bananes, 1/4 quart, pâtes de fruit, abricots, rasions secs,...) après 15 kms.
Nous attaquons, la deuxième partie, qui est une boucle qui nous ramènera à ce ravitaillement. Ma préférée : singles, montées, descentes, sable, tout y est. Vers le 28 ème kilomètre, dans un single en descente, je roule à gauche de l'ornière, le pneu arrière glisse dedans et c'est la chute. Je me couche sur le côté, sans gravité. Nous sommes de retour au ravitaillement. Il y a foule. Le buffet se vide vite mais l'organisation a mis le staff nécessaire.
Nous repartons direction Courdimanche puis Vayres ou se situe le 3ème ravito. Le terrain est sec et donc on mange de la poussière. Les passages dans les champs, avec le vent, me pèse dans les jambes. De longues montées/descentes ponctuent cette portion.
Jean-Pierre est en forme aujourd'hui et restera au contact tout au long de la rando en poussant de temps à autres de belles accélérations. Le dernier ravito est complet, sucré, salé à son grand bonnheur.
Après une bonne pause, nous reprenons la "route", vers D'huison.Une longue côté me permet de dépasser pas mal de concurrents,(les mêmes qui doublent à fond dans les lignes droites, d'une manière parfois limite). Jean-Pierre est toujours dans ma roue. Ce n'est que dans les derniers mètres que j'arrive à prendre un peu d'avance.Mais il a encore des réserves et me dépasse dans une accélération avant Cerny.
Nous regagnons la Ferté tranquillement ou nous retrouvons Rolland.Malheureusement le reste du Club est déjà reparti.
Nous aurons finalement opté pour le 60. Nous sommes de retour vers 12h.
Le traditionnel Hot dog/bière pression est le bienvenu. Jean-Pierre gagne un tee shirt au tirage au sort.
Une belle rando et une organisation sans faille, (flèchage, signaleurs, buffet, etc) comme c'est le faire le Club de l'Yvette, le tout pour 4€. Bravo et à l'année prochaine.
 

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Dimanche 01 mai 2011 : 
  geoportail.jpg La Faut pas Mollir à Plaisir (78) 45 kms

Je n'avais pas trop de dispo pour rouler ces dernières semaines. Ma dernière sortie était la JR. Ce n'est que samedi soir que je découvre les intentions de chacun. Une belle délégation de Saint-Michel se déplace à Boissy aux Cailles. Jean-Pierre me propose la même. Boissy n'est pas à côté et j'en garde un souvenir très roulant. Ce WE, il y a également Coudray et La Faut pas Mollir à Plaisir ! . Cette dernière m'a toujours bien plu. Je choppe Jean-Pierre in extremis et tardivement samedi soir pour lui faire ma proposition. Ce sera donc notre destination.
Jean-Pierre passe me prendre à l'heure (oui oui ! pourtant on est le 1er mai et non le 1er avril). Nous nous garons sur le parking habituel et passons par les inscriptions. Le temps est idéal.
N'ayant roulé que très peu et n'ayant pas suivi un régime diététique ces derniers temps (bonjour à Jean Paul S.), j'ai un peu peur pour aujourd'hui. Il y a un bon dénivelé sur le 45 kms. Mais contrairement à la JR, cela se passe bien sur les premiers kilomètres. Allez comprendre ! .
Ma dernière participation à cette rando remonte à 2008. Le parcours est quasi le même aujourd'hui, départ par la fôret de Saint Apolline,  Elancourt et le tour de Tremblay sur Mauldre via Rémy l'Honoré et Houjarray. Il est varié et boisé. Avant d'arriver à Jouars, Jean-Pierre pique un sprint sur un faux plat descendant, je peine à le suivre dans ce domaine mais j'arrive à regagner du terrain pour revenir à sa hauteur. Le terrain est sec ce qui donne un excellent rendement.
Il fallait garder des réserves pour la fin pour passer les sacrés raidillons de La Chaussée au Coq à Pontchartrain. Le parcours se termine par une quasi ligne droite en bordure de champ entre Neauphle le Château et Plaisir avec un petit vent de face.
Nous récupérons notre traditionnel Casse-croute / boisson que du dégusterons allongés sur l'herbe et au soleil. Une belle rando qui nous offre 1000 m de dénivelé sur le parcours 45 kms. Je me risquerai peut être sur le 90 l'année prochaine..

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Avril



Dimanche 10 avril 2011 : 
  geoportail.jpg La Jean Racine à Saint Rémy les Chevreuses (78) 60 kms 3_etoiles.jpg

Deux rando connues : la tour de Monthléry et la Jean-Racine. Suite à mes problèmes physiques de l'année dernière, je m'étais fixé la JR pour mon grand retour sur les raids. Randonnée connue et reconnue de tous pour être l'une des plus belles et plus dures de la région. Je suis pressé d'y être.Lla météo prévue est exceptionnelle pour la saison.
Jean-Pierre me propose de passer me prendre vers 6h30. Je lui demande confirmation de l'horaire mais "Pour la JR, on doit être sur place de bonne heure".
Je me lève à la dernière minute, juste le temps de prendre un café. La température est douce 13/14 degrés à l'abri. J'ai sorti mon short et mon coupe vent.
Jean-Pierre arrive bien couvert. Nous allons pourtant sur la même randonnée.
Nous suivons le fléchage jusqu'au parking. Nous n'avons jamais été garé si prêt. Nous sommes sur celui du départ de l'édition 2009 mais en fait le départ a lieu sur l'autre,vers la gare.
Il ne fait que 8 degrés et je commence à regretter de ne pas être plus couvert.
JP a rendez vous sur place avec un collègue, mais à notre arrivée personne. Nous retirons notre plaque de cadre et nous partons vers 7h20. Le départ est différent des autres années. Nous partons vers la butte Monseigneur puis le bois de Méridon via Montabé. Ce début est plutôt roulant.Nous passons à côté du Chateau de Méridon puis de Breteuil.
Après 20 kms sans grandes difficultés, nous arrivons au premier ravitaillement : quatre quart / chocolat / abricots secs. Il se tient avant les Vaux de Cernay. Nous repartons sur le même rythme (version raid) prêt à en découdre avec les difficultés. Mais à mon grand regret, nous passons à côté des Vaux par le GR. Quelques portions de route et chemins roulants, nous sommmes déjà sur le 2ème ravitaillement au Pommeret. J'enlève enfin mon coupe vent avant de repartir. Il fait chaud maintenant. Il reste une vingtaine de kilomètres et je veux augmenter la cadence pour finir. Nous sommes dans au bois du Fay. Le flèchage est un peu léger et tout le monde file tout droit au lieu de bifurquer sur la droite. L'erreur est vite décelée et réparée. Enfin le terrain est à la hauteur de la randonnée dans les bois de Chatelin et de Maincourt. Dommage il ne reste que 15 kms. A 3 kms de l'arrivée, le balisage approximatif nous stoppe. Après consultation du GPS et de la carte, nous continuons tout droit vers le point de départ. Ce fut le bon choix, nous retrouvons des rubalises.
Nous apercevons le Château de la Madeleine en arrivant à Chevreuse. Je me réjouis de gravir jusqu'au sommet, mais là encore le parcours reste sur le GR avant de finir par la piste cyclable. Nous sommes de retour, il est 12h30. J'aurai du choisir un kilomètrage supérieur aujourd'hui.
Que dire de cette édition, décevante oui, Ayant déjà fait la JR, on s'attend à mieux. Le parcours était une "Choisel" en tournant en sens inverse, le fléchage était perfectible, tout comme il n'y avait aucune présence de l'organisation sur le parcours. je pense pourtant que certains endroits le méritaient.
Une belle sortie tout de même sous un temps idéal. Le thermomètre affichait 25 degrés à l'arrivée. Je suppose que nos amis de l'O...ne sont pas étrangers à la typologie du parcours, à moins que ce ne fut un choix de l'organisation.
Satisfaction du jour : aucun douleur physique après 5 heures de selle, 62 kms et 1200m de dév.

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Mars




Dimanche 27 mars 2011 : 
   Rungis (94) 53 kms

Jean-Pierre avait déjà prévu un tour au départ d'Igny. Mais la boucle fait plus de 50 kms et je dois être de retour pour midi impérativement. Je suis donc obligé de déclarer forfait.
Changement d'heure oblige, je me lève à l'heure à laquelle il faudrait partir. Du coup je ne suis pas en avance et il est 9h15 quand je pars.Je prends la direction de Verrières mais, il y a pas quelques belles flaques d'eau et il tombe quelques gouttes. Je décide de bifurquer vers Wissous pour aller m'affuter les mollets avec les routards sur la circulaire de Rungis. Je fais 5 tours à un bon rythme avant de prendre le chemin du retour par Orly ville.Une petite pensée en passant par Athis-mons près de chez Philippe L. qui déménageait ce week-end pour aller s'établir en province. Nous ne reverrons plus le "GRAND" sur les chemins de notre région.
Il est temps de rentrer maintenant. Cela fait plus de deux heures que je roule à un rythme soutenu (pour moi) et j'ai un peu mal aux jambes.53 kms en 2h10.  

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Dimanche 20 mars 2011 : 
   Forêt de Saulx (91) 43 kms

Peu de rando organisée en mars. Jean-Pierre propose sa traditionnelle boucle en forêt de Saulx. J'accepte, mais, pour une fois, je lui demande de retarder l'heure de départ, ayant une contrainte matinale. Trop tard, Il a déjà fixé l'heure de départ à Ludovic et Michel qui ont répondu présent. Rendez-vous à 9h à Epinay. Je m'y rendrais directement par la route, si l'heure le permet, ne pouvant être au départ de 8h30. C'est un peu la course mais je confirme ma venue par SMS à Jean-Pierre. J'arrive à Epinay avec 5 mn de retard.
Nous partons en direction de la forêt de Saulx. Elle est largement plus praticable que la dernière fois. Il faut dire que c'était en décembre et il y avait 15 cts de neige. JP montre ces singles favoris à Ludovic et Michel. Il s'essaie sur ses montées impossibles et parvient à en franchir une quasi entièrement. La géométrie de son BeOne parait équilibrée et idéale pour relever ce genre de défi.(Comme dirait quelqu'un, je n'ai pas le bon vélo !). Nous passons par Marcoussis et son traditionnel escargeot avant la descente dans le parc. Pas de soucis les grilles sous ouvertes. Nous rattrapons D446 et tournons à droite aux Maraisses pour remonter sur le plateau. Nous aperçons une course mais pas de maillot de nos amis d'ADP. Retour par Saulx et quelques singles. Le terrain est bien et la dernière descente est avalée rapidemment. C'est une autre histoire quand le sol est glissant.
Nous abandonnons nos compagnons du jour à Petit Vaux avant de rentrer. Une petite sortie agréable sous quelques rayons de soleil. Un avant goût d'été.

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Dimanche 06 mars 2011 : 
   Rando Val Essonne à cerny (91) 55 kms 3_etoiles.jpg

Je suis présent quasi chaque année à ce rendez-vous, contrairement à Jean-Pierre, qui me questionne la veille sur cette rando. Je l'apprécie et c'est la première "grosse" qui se présente après mes problèmes physiques de l'année dernière. Le soleil est au rendez vous comme il l'a été toute la semaine. Le terrain promet donc d'être très correct.
Maintenant que les jours rallongent, j'essaie de faire lever JP un peu plus tôt, mais cette tâche reste difficile (je n'ai pas dis impossible). Je voudrais accroite un peu le kilométrage. Un départ sur le vélo vers les 8h me parait idéal pour effectuer le 55 voire plus.
Déjà beaucoup de monde sur place, il n'est pourtant pas si tard que cela (8h15). Nous nous inscrivons en compagnie de Stéphane avant que Michel n'arrive à son tour. Pas de café avant de partir, il est en train de couler. Dommage. Stéphane doit rentrer de bonne heure. Il attend d'autres Saint Michel pour partir. Nous partons à trois sur le 55 kms.
Je ne suis pas en super forme. Je ressents encore les effets d'un déménagement effectué la veille.
Michel et Jean-Pierre sont déjà devant. Je chauffe à mon rythme. Jean-Pierre claque une accélération dans la première côte. Je le laisse filé, ne pouvant suivre. Je reviens enfin sur le fuyard quelques kilomètres plus loin. Ca va un peu mieux. Je suis dans sa roue et le passe dans une difficulté.
La suivante est encore plus dure et semée de pavés. Je suis presque en haut. Un concurrent a mis pied à terre mais ne bouge pas et reste en plein milieu. Je stoppe et finis comme lui. De toute façon, il y avait un énorme bac à sable au sommet.
Je repars mais Michel et Jean-Pierre ne sont pas là. Je ralentie et le groupe se reforme avant de descendre sur Vayres.
Nous arrivons au premier ravitaillement, près de Frenneville, après 18 kms mais, plus de gobelets ! Le buffet n'est pas plus garni. Je pioche dans mon camel.
La troupe ADP arrive au grand complet. C'est avec plaisir que je les retrouve et les salue.
Michel a pris de l'avance et je repars avec Jean-Pierre avant d'être rejoint rapidement par les "orange et bleu". Je prends la roue mais le rythme est élevé pour moi. Je m'accroche. Décidément, les longs mois d'arrêt vont être difficiles à récupérer.
Dix kilomètres plus loin, nous arrivons au deuxième ravitaillement un peu plus fourni, encore faut il aimer le quatre quart, banane ou pomme. Je règle mon dérailleur arrière qui me fait des misères. Comme dirait Jean-Pierre pour solutionner le problème, change de vélo !. La troupe est déjà repartie. Je la suis de loin mais je ne peux pas revenir dessus, je ne la reverrai pas. Je paye maintenant mon effort précédent mais c'est déjà une petite victoire d'avoir pu les suivre quelques kilomètres. Il y a du monde et je trouve toujours quelqu'un avec qui rouler.
Dans l'ensemble, le parcours est agréable et varié, singles, montées, descentes, champs, bois, techniques. Certaines parties en sous bois sont encore molles mais heureuseument le reste est bien sec.
Autour des 43 kms,il y a une longue côte, interminable. Je commence à être dans le rythme (il était temps) et double quelques concurrents. Il y en a même à pieds.
J' espère arriver assez rapidement au troisième ravitaillement pour attendre JP et Michel mais il n'arrive qu'au 47ème kilomètres et est en plein vent. Si proche du but, je décide de faire un ravito éclair et de repartir. j'ai le temps de prendre un bout de... quatre quarts avant que l'assiette ne s'envole lorsque je tends la main pour un prendre un deuxième. Décidemment !
Je reconnais différents endroits du parcours. Ils sont similaires à la Bédouine, ce qui me rappelle mes déboires de l'année dernière.
J'ai un peu mal aux jambes et je finis les derniers kilomètres tranquillement. Le compteur affiche 57kms à l'arrivée.
Je retrouve quelques Saint Michel et attends Jean-Pierre pour aller récupérer un hot dog/bierre bien mérité.
Je suis ravi de ma sortie, une vraie sortie (pour moi) après plusieurs mois. Un beau parcours, un temps magnifique, un balisage sans faille, on ne peut pas en dire autant des ravitaillements. Je pense que l'organisation a été prise de cours devant le nombre de participants : 820 ! bravo ! un bien pour un mal.
 

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Février




Dimanche 27 février 2011 :
   Fontainebleau 37 kms

La météo de la semaine ne laissait pas beaucoup le choix. La destination était toute trouvée : Fontainebleau.
N'étant pas à la maison samedi soir, je reçois un SMS de JPD sur mes intentions. Aie ! Cela risque d'être dur, je n'ai pas prévu de rentrer de bonne heure ce soir. J'accepte quand même l'invitation.
Le réveil est un peu difficile avec seulement 4 grosses heures de sommeil. Jean-Pierre arrive mais je ne suis pas tout à fait prêt.5 mn plus tard tout est dans le voiture.
Je n'ai pas eu le temps de mettre le tracé dans mon GPS (toujours aussi capricieux le EDGE). Je compte donc sur les talents de navigateur de Jean-Pierre et m'apprête à faire un peu plus de kilomètres que prévu (!!).
Nous partons vers Apremont. Je prends la roue de Jean-Pierre et ne la quittera pas de toute la matinée. Le parcours du jour est composé de "plusieurs nouveautées" (amis de la varappe, Bonjour. Il y a un passage pour vous). Il emprunte un nouveau single au démarrage. Les sangliers sont passés par là. Il y a régulièrement des trous "d'obus".
Dans les gorges de Franchart, nous essayons un nouveau single. Il n'est pas très emprunté et bon nombres d'arbres sont couchés en travers. C'est à ce moment que Jean-Pierre décide de déblayer le premier pour ne pas être gêné la prochaine "fois". Il pose son vélo, se prend pour l'incroyable Hulk (sans craquer sa chemise) et essaie de soulever un tronc de plusieurs mètres de long. Peine perdue, l'arbre restera à sa place. En fait beaucoup d'arbres sont couchés dans ce coin. Nous sommes obligés de porter plusieurs fois. Mais Jean-Pierre est enfin récompensé et enlève avec succès un arbre en travers.
Le parcours tourne maintenant à l'inverse de d'habitude et passe par la tour Dénécourt. Il parait moins facile dans ce sens.
Nous repartons mais après quelques kilomètres, nous stoppons après avoir loupé une bifurcation. Je mets le pied en plein sur une racine au moment de m'arrêter. Grand écart, le vélo se couche. Je me rattrape in extrémis en mettant le pied sur la roue arrière et...le dérailleur. Ce dernier se bloque entre deux rayons. Je sors l'outillage, démonte la roulette inférieure, dégage la chappe et remonte le tout.
Nous rattrapons en de nos singles favoris. A notre grand regret, il est gorgé d'eau et nous roulons plus souvent dans la boue que sur le sec. J'ai rarement vu autant d'humidité à Fontainebleau (le samedi matin a été très pluvieux). Il est moins agréable à prendre dans ces conditions et pése dans les jambes.
Mon navigateur du jour, irréprochable jusqu'au trentième kilomètres (eh oui les mauvaises langues), commence à fatiguer tout comme son GPS qui met du temps à se recaler. Nous sommes sur la route de Luxembourg et bifurquons à droite vers la Grotte aux Cristaux. Mais nous sommes à côté de la trace et ce chemin, se dirigeant vers un sommet, est loin d'être praticable. Nous y parvenons en gravissant des marches à travers les rochers,.... le vélo sur le dos. Comme souvent, la vue est imprenable en haut.
La fin est plus roulante. Une agréable sortie de 37kms. Le soleil était au rendez vous et la température relativement clémente, 9 au retour, pour une fin février. La forêt commence à bourgeonner, un bon signe ! 

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Dimanche 20 février 2011 : 
   Forêt de Sénart 48 kms

Encore un peu la tête dans les montagnes, je prévois d'aller faire un tour. Calme plat côté e-mail, je prends mon temps pour me préparer dimanche matin et ce n'est que vers 9h30 que je pars faire un tour en forêt de Sénart mi-route, mi-chemin.
Je n'ai pas tracé de parcours et je navigue à vue. Je traverse la Seine et suis surpris : ils viennent d'installer un radar sur la "4 voies " qui monte vers Draveil, limitée à 50 !. Il y en a vraiment partout.
Je reste le plus possible sur les grands chemins en évitant les flaques mais malgré tout, je suis moucheté après quelques kilomètres. Il a du bien pleuvoir ces derniers jours. Comme d'habitude il y a de nombreux promeneurs, vététistes et autres joggeurs.
Le temps tourne tout comme les kilomètres. Je prends le chemin du retour et je prévois un arrêt chez le grand Philippe L. Malheureuseument, je me cass le nez à l'écluse d'Ablon, toujours fermée. Bizarre depuis le temps ! Je fais donc marche arrière et le retour se fera par le port aux cerises ou je croise Stéphane. Nous traversons la Seine ensemble avant que nos chemins se séparent.
Petite sortie tranquille de 48 kms avec un bon coup de jet sur le vélo à l'arrivée
  

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Dimanche 06 févier 2011 :
    La Bondoufloise 60 kms.  

Deux randonnées au calendrier : l’Hivernale de Larchant ou la Bondoufloise. Xavier me propose Larchant car il dispose de 2 places (les préinscriptions sont obligatoires) supplémentaires. Mais le tarif, toujours excessif à mon goût (9€) ne me dissuade pas d’y participer. J’opte donc, sans hésiter, pour la Bondoufloise, qui a lieu tous les deux ans. Après une semaine chargée, Jean-Pierre prend l’option couette.
Je retrouve 5/6 Saint Michel, dont the famous président, Philippe L., Rolland, Michel H1. J’arrive juste à temps pour le rendez-vous de 8h30. Tout le monde est prêt, je fais une inscription éclaire et m’acquitte de 3,50 € tarif licencié (bravo !). On discute dans le peloton en partant si bien que notre président loupe une balise après 2,5 kilomètres, erreur vite rectifiée.
Il fait 8 degrés ce matin. Je ne suis pas beaucoup couvert mais je n’ai pas très chaud. J’appuie un peu sur les pédales pour me réchauffer.
De mémoire, ce parcours est très roulant. Il est constitué de plusieurs boucles dont la plus grande qui emmène jusqu’à Torfou. Je me suis inscrit sur le 60 mais je suis le seul. Je suis maintenant en compagnie de Michel qui est sur le 40. Nous roulons avec le vent de face jusqu’au premier ravitaillement au Petit Saint Vrain après 20 kms. Le terrain est un peu mou. Pas si facile que ça.
En repartant du ravitaillement, nous attaquons le premier single de la journée dans le bois de Cramart avant de nous diriger vers Lardy et de passer sous la voie ferrée.
Nous montons dans la forêt régionale de Cheptainville. Nous longeons un mur mais, au bout, il n’y a plus de balises. Petite hésitation et nous reprenons sur la droite, ce qui s’avère correct. Je stoppe aux Chanterelles et attend Michel à la bifurcation pour la dernière boucle. Il est sur le 40 mais il n’est pas en super forme aujourd’hui, il traîne une bronchite. Il décide de m’accompagner quand même sur le 60.
Nous sommes dans les bois au dessus de Lardy. Le terrain est à mon avantage. Cette boucle est super sympa. Nous passons dans des singles que je ne connaissais pas.
J’ai eu tort d’appuyer sur les pédales lors du démarrage. Le parcours est plus difficile qu’en 2009. J’ai un peu mal aux jambes mais nous sommes sur le chemin du retour vers Torfou ou nous attends le deuxième ravitaillement après 34 kms. Je plaisante avec les organisateurs qui sont des « routiers ». Michel arrive. La température n’a pas augmenté et je n’ai pas très chaud contrairement à Michel qui a chauffé un peu dans les dernières difficultés. Il enlève une « couche » et nous repartons direction Cheptainville puis Leudeville et le dernier ravitaillement. Nous prenons quelques fruits secs et morceaux de quatre quarts pendant que l’organisation, un certain Philippe M. (pour de pas le cité, Philippe, si tu me lis…) est en train de déguster une assiette de tripes de Caen. J’aperçois même une bouteille de vin à l’arrière d’une voiture. Le monde est cruel. Nous échangeons sur le tracé puis nous repartons pour la dernière partie. Nous finissons les 12 derniers kilomètres. Comme prévu, nous avons le vent dans le dos. C’est agréable de l’avoir au retour. A partir de la butte de Braseux le parcours est identique à l’aller.
Il est 12h30. Nous sommes de retour. Le compteur indique 60 kms. Un sandwich rillettes avec une bière clôture cette sortie.
J’ai trouvé l’édition 2011 plus agréable et moins roulante que celle 2009. La boucle vers Lardy m’a plu. Les ravitaillements étaient corrects (sans tripes malheureusement pour le dernier) tout comme le balisage. 418 participants. Le chiffre parle de lui-même. Je reviendrais en 2013.
 

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Janvier





Dimanche 30 janvier 2011 :
    Fontainebleau 35kms

Le président du Club avait mandaté Jean-Pierre pour une sortie club en forêt de Fontainebleau. Deux parcours étaient proposés : 25 et 35. Rendez-vous à 8h30 à Barbizon.
Agréable surprise en arrivant sur place, une bonne douzaine de Saint Michel était présent malgré le froid (-4). C'est avec plaisir que je retrouve, en autre, Jérome, les Michel, Olivier, Philippe. Xavier a également fait le déplacement. Cela faisant longtemps que je n'avais pas roulé avec eux.
Le parcours est identique à la semaine dernière pour le 35kms. Nous partons mais à peine 100 mètres effectués, Benoît (un autre) rencontre des difficultés au niveau de son dérailleur arrière. Je sors ma bombe de WD40 et tout rentre dans l'ordre. Nous rejoignons rapidement le groupe qui nous attendait avant d'attaquer la montée dans les Platrières d'Apremont.
Je ferme la marche en compagnie de Gilles jusqu'à la séparation des parcours. Nous sommes pas moins de 9 à prendre le 35. Jean-Pierre nous a concocté une variante dans les georges de Franchard qui s'avère souvent à porter le vélo. Heureusement, les portages me sont moins pénibles maintenant. Je sors d'ailleurs d'une visite de contrôle pour mon genou.Tout est rentré dans l'ordre mais il faut encore être prudent quelques mois et ne pas forcer.
Nous nous dirigeons vers le Mont Aigu. La connaissance du terrain me permet de ne pas (plus) poser le pied. Nous redescendons et rattrapons l'autre groupe sur la route de l'Ermitage. Petite pose photos-ravitaillement. Mieux vaut ne pas s'attarder pour ne pas se refroidir. Jean-Pierre a des soucis avec les scratchs qui maintiennent son GPS sur le tube latéral de son cadre. Il "tourne" régulièrement sous le tube. Pas facile de se diriger lorsque l'on ne voit que l'arrière du GPS ! Xavier le dépanne de quelques colliers Rilsan et tout rentre dans l'ordre. Nous repartons en direction de l'hippodrome de la Salle puis traversons la N6.Je suis en tête du groupe (en fait nous sommes que 2 à être équipé d'un GPS donc c'est soit JP soit moi) quand j'entends quelqu'un, dans un raidillon, chuter lourdement juste derrière moi . C'est Jean-Pierre ! Trop de puissance sur un vélo ultra light avec quelques cailloux et boum. Il se relève un peu contusionné. Tomber en appuyant à fond, debout sur le vélo...ça fait mal.
Nous repasson la N6. Dans le Mont Saint germain, chacun s'essaie à grimper un mur (impossible) de quelques dizaine de mètres.
Nous arrivons à la Table du Grand Maitre. Le médecin a dit :"ne pas forcer". Je stoppe et monte à pieds jusqu'au sommet (comme toutes les grosses côtes). Pose ravitaillement rapide.
Nous attaquons notre single favori qui est méconnaissable. Les engins forestiers sont en pleines activités sur cette portion, à en perdre le chemin. Nous prenons le single en devers puis le chemin de retour habituel : Rocher Cuvier Chatillon, Carrefour de l'Epine puis du bas Bréau. Avec la fatigue le groupe s'est un peu étiré. Nous arrivons tous vers 12h30 ou nous retrouvons le groupe des 25kms.
Une sortie agréable malgré la température. Tout le monde était ravi.
 

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Dimanche 23 janvier 2011 :
    Fontainebleau 34 kms

Une infection des bronches ne m'a pas permis de sortir la semaine dernière. Malgré un nouveau passage chez le docteur et la prise d'antibiotique, je ne suis pas en super forme, J'ai toujours du mal à respirer et je tousse régulièrement. J'accepte quand même l'invitation de Jean-Pierre. Un petit circuit de 35kms à Barbizon. C'est en fait le même qu' effectué il y a 2 semaines mais dans l'autre sens.
Nous arrivons à Barbizon et surprise, notre parking habituel est complet. Nous nous garons le long de la route et sortons les vélos. Je préfère bien me couvrir quitte à rouler tranquillement aujourd'hui.
Départ à 09h00 par les georges d'Apremont. Jean-Pierre tente un single sur la gauche mais nous sommes rapidement bloqués. Quelques portages nous remettent sur le droit chemin.
Nous ne sommes pas loin de Franchard, quand Jean-Pierre, me fait remarquer une de horde familiale de sangliers. Ils sont à quelques dizaines de mètres seulement. Nous restons sur nos gardes pendant que JP immortalise le moment.
Nous arrivons au Mont Aigu. La montée dans ce sens est tout à fait jouable, comme prévu. Nous décrochons pour passer certains endroits. Arrivé en haut, Jean-Pierre inspecte les environs pendant que je prends le chemin pour descendre. Mais il ne me suit pas. Je re-porte mon vélo et remonte au sommet. Il est sceptique mais je suis quasi sur de l'avoir emprunter il y a 2 semaines. De plus mon GPS est "d'accord".
Effectivement, cela va mieux en descendant malgré certains passages un peu chauds au démarrage.
Nous faisons une petite halte près de la Maison Forestière de Fleury avant d'attaquer un single vers la Tête de l'Ane. Nous loupons la trace et continuons tout droit. Un examen rapide de la carte sur GPS de JP, nous prendrons la prochaine à droite, c'était sans compter le dénivelé. Nous calons à quelques mètres du sommet d'une belle côte, courte mais raide.
Nous traversons la N7 pour prendre la route des liqueurs. La trace bifurque à droite mais le chemin n'est pas évident et il y a plein d'arbres couchés. Nous décidons de continuer notre route et de bifurquer à la prochaine.
Nous faisons une partie de route avant de tourner à gauche et d'aborder une descente technique vers l'hippodrome de la Salle. Mes roues se bloquent par moment. Des arbres sont également couchés. Il y a des traces pour les contourner mais j'en loupe une ou deux. Pas facile de se rappeler des obstacles surtout que je n'ai pris qu'une seule fois ce chemin et dans l'autre sens.
Nous sommes maintenant sur notre single en dévers. Jean-Pierre fait un bel effort pour monter jusqu'à la Table du Grand Maitre. Bravo ! Je n'en fait que la moitiè sur le vélo et finis à pieds. J'arrive en haut mais j'ai chaud et suis pris d'une quinte de toux. Pose ravitaillement pendant que la "machine" reffroidit.
Nous finissons le single, il me parait interminable dans ce sens, tout comme le chemin nous ramenant à la voiture. Nous sommes de retour après 34 kms. Je suis fatigué C'était suffisant pour moi aujourd'hui.
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Dimanche 09 janvier 2011 :
geoportail.jpg Rallye de Versailles 41kms

Le rallye de Versailles était la première au calendrier. C’est un peu une reprise pour moi, ma dernière sortie organisée était la bédouine en juin 2010. JP avait gardé une option Fontainebleau au cas ou le temps ne serait pas top. Mais ce n’est pas la pluie de samedi qui nous a fait changer d’avis. Philippe L a prévu le déplacement tout comme plusieurs collègues de Jean-Pierre. Je voulais faire cette rando car je n’y avais jamais participé. Jean-Pierre m’avait dit du bien des éditions précédentes.
Au levé le sol est trempé. Il a du bien pleuvoir cette nuit. Je me prépare et sors ma monture mais…l’avant est à plat. Il m’était arrivé cette mésaventure il y a peu de temps et un simple coup de pompe avait remis tout ça en ordre. Pourtant j’avais regonflé la veille comme à chaque sortie. Mais je ne veux pas prendre de risque et décide de changer de chambre. J’examine minutieusement la récalcitrante : le tour de la valve est parsemé de petites cloques. Direction poubelle.
Philippe est déjà parti lorsque nous arrivons. Nous ne sommes pas en avance. Nous nous inscrivons et faisons l’impasse sur le café. JP salut son collègue. Il est 9h10. Nous nous retrouvons immédiatement en forêt de Viroflay. Le terrain est très humide mais rien à côté de ce qui nous attend. Nous suivons un concurrent et loupons une balise. Arrivée au carrefour de la voie Rouge, plus aucune rubalise. Demi tour toute. Effectivement 500m plus loin, nous apercevons des vététistes au loin. Nous reprenons le chemin. Il est pourtant tard mais il y a encore beaucoup de monde tout comme il y en avait aux inscriptions d’ailleurs.
Le terrain est super gras mais ce n’est pas une boue trop collante (pour le moment). J’ai des soucis avec ma transmission. Le petit plateau ne l’apprécie pas et j’ai une remonté de chaîne à chaque fois que je m’en sers. Avec 2 plateaux et un terrain boueux, la suite promet d’être difficile. Heureusement, il n’y a pas de grosse difficulté. Le terrain est tel que tout le monde les passe à pieds .
Nous sommes sur le plateau près des étangs, sur le GR. J’avais eu l’occasion de rouler dans ce coin il y a quelques mois, en solo. Le GR est détrempé et la progression difficile. Plusieurs kilomètres de ligne droite. Je fais ce que je peux avec mes développements, les roues triples de volume. Ne voulant pas renouveler l’expérience de la Bédouine (Patte de dérailleur, câble, chaîne), je stoppe et profite d’un champ inondée, en bordure, pour faire rouler le vélo dedans pendant quelques mètres. Je remonte et repars.
Le premier ravitaillement est au bout à Villiers le Bâcle (18kms). Jean-Pierre arrive à son tour. Il a un peu la tête dans les nuages en entendant le bruit des avions. Le tracé fait le tour de l’aérodrome de Toussus le Noble. Surtout qu’il a prévu d’aller faire un vol l’après-midi. Vu dans l’état où on est et dans le m… je le comprends. Tout compte fait l’option Fontainebleau aurait été sympa. Arrêtons de nous plaindre, il fait un beau soleil ce matin.
Nous repartons par la forêt de la Tête ronde en direction de Chateaufort. Nous traversons d’énormes flaques, à avoir les pieds dedans à chaque coup de pédale. Tout est inondé. Les fossés sont pleins. On a l’impression qu’un orage vient de passer. Par moment, on roule carrément dans des ruisseaux, tellement l’eau ruisselle sur les chemins. Nous longeons la D36, dans l’herbe, dommage la piste cyclable est de l’autre côté de la route mais 600m plus loin nous bifurquons sur la gauche vers les Marnières et les Quatre chemins. Les grosses flaques ont laissées place à un chemin boueux. Décidemment, il faut jouer l’équilibriste pour rester sur le vélo aujourd’hui. De plus cette partie du circuit n’est vraiment pas intéressante. J’ai pris un peu d’avance sur JP. Je décide de l’attendre mais nous sommes devant le Techno-Centre de R…. ne voulant pas être accusé d’espionnage, je continue mon chemin jusqu’au prochain ravitaillement au kilomètres 31 et juste avant d’attaquer la Minière. Le stand est quasi vide. Je mange quelques carrés de chocolat en attendant JP qui ne tarde pas à arriver. Le terrain lui mine un peu le moral.
Nous repartons, puis arrivons sur la bifurcation 40/48. Direction le 40 sans hésitation. Nous passons dans la Minière mais en restant sur les chemins, j’oserai dire que le terrain est un peu plus roulant maintenant. Il n’est pas de bonne heure et j’essaie de relever un peu la moyenne catastrophique du jour. Le parcours se fini dans le bois de Viroflay pour revenir au point de départ. Il était temps, j’ai un bruit à l’arrière qui ne présage rien de bon. Il faut dire que le mécanique a soufferte aujourd’hui. Heureusement le kilométrage du parcours est au plus juste : 41 kms.
Nous allons nous restaurer avec un bon Hot dog moutarde. Je négocie, sans succès, un 1664 contre une kro. Les vélos sont dans un état infernal. Nous faisons la queue au jet mais il n’y en a qu’un et abandonnons après 10 mn d’attente. Dommage il y avait de la pression. Nous rejoignons la voiture. J’ai été très inspiré ce matin car j’ai emmené des affaires de rechange. Nous sommes dans le même état que les vélos.
Une randonnée difficile étant donné l’état du terrain. Je dirai qu’elle aurait été un peu ennuyeuse par temps sec.

 

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Dimanche 02 janvier 2011 :
   Fontainebleau 37 kms

Première sortie de l'année. JP propose une sortie à Fontainebleau. Xavier a répondu présent. Franck prépare le Paris-Nice et a repris la route goudronnée au détriment des chemins.
Nous retrouvons sur le parking de Barbizon Stéphane. Il inaugure un QBIKE carbone. Xavier roule aujourd'hui sur un YETI 575. Décidemment, je commence à faire pâle figure avec mon Lapierre de 2005.
Je me tiens à l'écart pendant qu"ils échangent sur leur nouvelle monture.
Le parcours du jour passe par une nouvelle boucle vers le Mont Aigu.
On passe directement sous la nationale pour aller rejoindre au plus court le single en dévers qui nous emmène vers la Table du Grand Maitre. Dans la montée du rocher Cuvier Chatillon, Jean-Pierre fait parler son Be-One et nous laisse sur place. J'arrive à mon tour. Je m'arrête car j'ai des soucis de vitesse. La chaîne ne va pas sur plusieurs grands pignons. J'ai changé la cablerie cette semaine, le câble n'était pas assez tendu (ou mal positionné lors de mes tests). Un petit tour de clé et je retends le câble au niveau du dérailleur. Tout est en ordre.
Nous arrivons sur notre fameux sigle et le passage délicat surnommé "passage ADP" suite aux diverses chutes occasionnées. Jean-Pierre inspecte prudemment le passage avant de remonter pour le négocier. Mais Xavier est déjà deçu et le passe à la vitesse de la lumière. Nous passons à notre tour. Il y a effectivement une bonne marche.
On arrive vers l'hippodrome de la Salle. J'essaie en vain de trouver un chemin longeant la petite route mais rien n'y fait, ce ne sera pas pour aujourd'hui. Il faut se rendre à l'évidence : il n'y a pas de chemin. pourtant je suis sur la trace GPS.
Le tracé remonte vers la maison du grand veneur. C'est une nouvelle boucle sur un single peu emprunté et un peu encombré d'arbres. Mon regard est scotché au GPS. Quasi en haut, Stéphane casse sa chaîne. Je lui passe un attache rapide et nous repartons en direction des Georges du Houx. Jean-Pierre et Stéphane passe mais je cale dans le fameux passage. Ce sera pour une prochaine fois.
Je suis en queue de peloton en arrivant au carrefour des Georges de Franchard. Je regarde mon GPS, je relève la tête mais trop tard, je ne vois plus le reste du groupe. Je suis la trace et j'aperçois Jean-Pierre au loin, il a pris trop à gauche, la route des Georges au lieu de celle du Sommet. Tant pis, je reste sur la trace. Les deux se rejoignent plus loin. Effectivement, je les retrouve à contre-sens, mais cette partie ne passe que dans le mien.
Petite halte avant d'attaquer la partie découverte du jour le Mont Aigu. L'arrivée au sommet est difficile et impassable sur le vélo. Un beau point de vue nous récompense. Nous avons un peu de mal à trouver le chemin pour redescendre mais le GPS fait son travail. C'est une boucle à garder mais à faire à l'inverse.
Nous rentrons par Franchard puis les Georges d'Apremont. Stéphane ressent quelques douleurs au genou. Je lui conseille de prendre la route pour redescendre au parking.
Quelques minutes plus tard, nous sommes également de retour.
Une belle sortie de 36 kms..

 

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Date de création : 27/12/2010 @ 13:52
Dernière modification : 26/01/2012 @ 14:12
Catégorie : - Activités 2011
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